C’était lundi après-midi. Joel avait profité de cette journée pour travailler à domicile. Le travail avait été stressant ces dernières semaines et il avait décidé qu’il méritait une journée de détente chez lui. La matinée avait commencé tranquillement. Sa femme Stacey était partie travailler, alors il avait répondu à quelques e-mails et avait commencé à parcourir des sites pornographiques en ligne. Comme d’habitude, il avait commencé doucement. Après avoir répondu à quelques e-mails, il avait cliqué sur un site et regardé une superbe nana se faire défoncer le cul par une grosse bite bien épaisse. C’est la bite qui a causé des problèmes à Joel. Malheureusement, Joel avait été doté d’une bite plutôt pathétique, 9 cm au mieux. Sa femme l’aimait toujours malgré sa situation et, au fil des ans, Joel était devenu un bon lécheur de chatte, mais la jalousie qu’il ressentait de ne pas avoir un de ces monstres qui déchiraient les entrailles, chauds, durs et palpitants pour baiser sa femme le tuait. Et le remplissait de désir.
Tout a commencé avec les scènes anales, il adorait l’anal parce que c’était le seul moment où il pouvait glisser dans sa femme et où il se sentait serré, mais en regardant ces monstres marteler ces trous serrés et salopes, il est passé des scènes anales aux bites monstrueuses et au porno gangbang, jusqu’à finir par regarder du porno transsexuel et bisexuel afin de voir autant de bites que possible. Il adorait regarder une trans sexy ou un mec bien membré se faire baiser dans le cul, deux bites qui s’agitaient avec une fille à côté qui les encourageait. Alors que son désir devenait plus fort, il se leva et alla dans la chambre, le bruit d’une trans vêtue d’une minijupe écossaise moulante, avec son string noir tiré sur le côté, tandis qu’une grosse bite la pilonnait de l’intérieur, remplissait la maison. S’il ne pouvait pas avoir une grosse bite, il voulait être cette transsexuelle qui sentait cette bite dure lui pomper les entrailles, le remplissant de tout son long. Il alla dans les tiroirs de sa femme et trouva un string noir comme celui que portait la transsexuelle pendant qu’elle se faisait baiser. Il se déshabilla rapidement et l’enfile. Son érection pitoyable formait à peine une petite bosse à l’avant. Il trouva une jupe, pas tout à fait la même que celle que portait la transsexuelle, mais il lui en fallait une plus grande car sa femme était beaucoup plus mince que lui. Il l’enfilait et prit un soutien-gorge, qui ne lui allait pas très bien non plus.
Il se regarda dans le miroir. Il était affreux, loin d’être aussi sexy que la transsexuelle qui l’avait rendu fou. Cependant, lorsqu’il se retourna devant le miroir et se pencha pour que sa jupe se soulève et qu’il puisse voir le string remonter entre ses fesses, il faillit jouir dans sa culotte en imaginant une grosse bite épaisse baiser ce trou serré par derrière.
« Qu’est-ce que tu fous ?
« Je… euh… Euh… » balbutia Joel tandis que Stacey se tenait dans l’embrasure de la porte, les mains sur les hanches, fixant son mari habillé avec ses vêtements. « J’étais juste… »
« Tu étais juste en train de te comporter comme une petite salope. » s’exclama-t-elle. « Et c’est quoi ce bruit ? »
Joel avait en quelque sorte oublié le porno qu’il avait laissé tourner sur son ordinateur, mais maintenant, le son de cette transsexuelle en extase semblait résonner dans toute la maison.
« Chérie, n’entre pas… » Mais Stacey avait déjà quitté l’embrasure de la porte et Joel la suivit nerveusement dans la pièce voisine. Elle resta immobile, lui tournant le dos, tandis qu’il entrait.
« Tu veux être elle, lui, peu importe.
N’est-ce pas ? » Joel resta là sans rien dire. « Réponds-moi ! Tu veux être une petite salope qui se fait prendre par une grosse bite dans son petit cul serré et qui avale des giclées de sperme, n’est-ce pas ? » Joel était figé, il n’avait jamais entendu Stacey parler comme ça auparavant et d’un côté, il était terrifié, mais de l’autre, il était incroyablement excité. « Chérie, je… écoute… »
Et puis tout a jailli. Il lui a dit à quel point il se sentait inférieur avec sa petite bite et comment l’idée qu’une grosse bite le baise le faisait se sentir plus à la hauteur d’une manière étrange. Qu’il l’aimait toujours, que ce n’était qu’une phase passagère, qu’il s’en remettrait. Elle est restée là à l’écouter, et quand il a enfin eu fini, elle s’est approchée de lui, l’a pris dans ses bras et est sortie. Joel a paniqué.
Où allait-elle, le quittait-elle pour de bon ? Il courut se changer et passa l’heure suivante à faire les cent pas dans la maison et à appeler frénétiquement le portable de sa femme, qui était éteint. Finalement, la porte d’entrée s’ouvrit et sa femme entra dans la maison avec plusieurs sacs. « Chéri, tu peux m’aider… Oh, tu t’es changé ? » dit Stacey en lui tendant quelques sacs.
« Ce n’est pas grave, oh, ne regarde pas ! » dit-elle d’une voix excitée en lui donnant un baiser sur la joue. Joel était stupéfait, elle agissait comme si de rien n’était. Il se retourna et suivit sa femme dans la chambre, puis dans la salle de bain principale où elle alluma la douche. Elle fouilla dans l’un des sacs et en sortit une crème.
« Déshabille-toi », dit-elle en commençant à lui étaler la crème sur tout le corps, du cou jusqu’aux pieds. À ce stade, Joel ne lui posa même pas de questions, il savait qu’il était sur des charbons ardents et ne voulait pas voir la situation dégénérer.
Une fois la crème appliquée, elle commença à picoter et à brûler légèrement, et Stacey lui demanda d’entrer dans la douche. L’eau commença à rincer les poils recouverts de crème. Alors qu’il sortait et se séchait, elle sortit quelques vêtements d’un autre sac. Le premier était un string en dentelle noire, légèrement différent de celui qu’il portait lorsqu’elle l’avait surpris. Le deuxième était bleu clair et noir, contrairement au string noir et rouge de la transsexuelle, et enfin, un soutien-gorge à sa taille et une chemise blanche à col qu’elle lui fit nouer pour compléter la tenue. Elle rembourra son soutien-gorge, puis sortit des chaussettes blanches longues et des talons noirs de 7 cm à sa taille. Une fois qu’il fut habillé, elle lui demanda de s’asseoir. La sensation du string qui remontait dans son cul fit bondir sa bite tandis qu’elle lui appliquait du maquillage et une perruque blonde.
« Voilà une petite salope sexy ! dit-elle en ajoutant la touche finale et en lui demandant de se retourner pour se regarder. »
« Waouh… Je… Putain, Stacey. »
« Ma petite Joelle, va m’attendre dans la chambre. » Le nom qu’elle utilisa fit à nouveau tressaillir sa petite bite alors qu’il luttait pour sortir de la salle de bain avec ses talons.
Il s’assit sur le bord du lit et replia nerveusement sa jupe. Après quelques instants, Stacey sortit de la salle de bain sans maquillage, les cheveux tirés en arrière en queue de cheval, vêtue d’un jean baggy et d’un tee-shirt en coton. Ses petits seins 32A étaient invisibles sous son t-shirt ample.
« Tu es ma petite salope, n’est-ce pas ? » dit-elle. Joel acquiesça simplement. « Tu veux une grosse bite en toi, n’est-ce pas ? Qui glisse entre tes lèvres, qui baise ton petit cul serré. Tu en as besoin, n’est-ce pas, petite salope efféminée. »
Joel acquiesça nerveusement en croisant les jambes comme une adolescente effrayée.
« Réponds-moi, salope ! » hurla Stacey.
« Oui, je veux ça », répondit Joel docilement.
« Alors mets-toi à genoux. » Joel obéit et s’agenouilla. Elle s’avança jusqu’à ce que son entrejambe soit presque à la hauteur de son visage. Il savait ce qu’elle voulait et commença à déboutonner son jean avant même qu’elle ne le lui demande.
« Voilà une petite salope impatiente. Tu es impatient d’avoir une belle bite dans la bouche, n’est-ce pas ? »
Alors qu’il déboutonnait le jean, une bite en caoutchouc réaliste de 15 cm jaillit de son étui et le frappa au visage. Stacey gloussa et attrapa le manche, le frappant plusieurs fois de chaque côté.
« Avale-la, salope. » Joelle se pencha en avant et prit timidement le bout dans sa bouche. Stacey n’était cependant pas d’humeur à prendre son temps et lui saisit l’arrière de la tête, le forçant à avaler sa bite dure et le faisant vomir. Joel paniqua et se recula, mais elle lui repoussa la tête en arrière.
« Apprends à l’aimer, salope. » dit-elle alors que sa bite passait ses amygdales. Elle commença à le baiser brutalement dans la bouche et après quelques minutes, Joelle se détendit et s’y habitua. Il gémissait même autour de la bite et la branlait dans sa bouche tandis que sa langue parcourait toute sa longueur à chaque coup de rein. La queue était recouverte de sa salive et il gémissait de manière audible autour de son envahisseur oral. « Ohh putain, tu aimes vraiment la bite, n’est-ce pas, petite salope ? »
Stacey commençait à s’exciter car son gode-ceinture avait un autre côté qui frottait violemment son point G pendant qu’elle baisait la bouche de Joelle. « Regarde-toi gémir et aimer ça ! Tu peux presque prendre chaque centimètre. Tu as déjà fait ça avant, petite salope ? Tu es douée, putain. »
Joelle gémissait simplement son approbation tandis qu’il continuait à se faire baiser la bouche comme une star du porno.
« Lève-toi, salope. » ordonna finalement Stacey en retirant son phallus couvert de salive des lèvres avides de Joelle, un long filet de salive pendait de son extrémité à sa lèvre inférieure. « Je pense qu’il est temps que tu te fasses baiser comme la salope que tu es. »
Stacey attrapa alors Joelle par la perruque et la jeta sur le lit, son petit cul rebondi pointant vers le haut de manière invitante tandis que ses yeux nerveux la fixaient. Stacey se sentait incroyablement bien. Elle avait décidé de jouer le jeu de Joelle et de réaliser son fantasme d’être une bonne épouse, mais elle commençait à adorer ça, le pouvoir, la domination. Elle était perdue dans sa luxure. Elle sortit un tube de lubrifiant de sa poche arrière et en versa généreusement sur ses doigts avant de glisser le string de Joelle sur le côté et d’enfoncer brutalement deux doigts dans son petit cul plissé. Joelle se tortilla et poussa un cri de douleur.
