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Cauchemar en famille

Les vacances de la famille tournent au cauchemar.

« Qu’est-ce que tu fais ? » pensa Alana en se caressant le sexe, recouvert de sa culotte.

« Mon Dieu, sa bite est tellement grosse », pensa Alana tandis que son fils commençait à se branler avec vigueur.

Au moment où Alana allait glisser sa main dans sa culotte, James éjacula. Les yeux d’Alana s’écarquillèrent tandis que le sperme jaillissait du gland de son fils. Deux grosses giclées s’échappèrent du pénis de James, suivies d’autres qui coulèrent lentement le long de la verge et recouvrirent sa main. James resta allongé un instant, respirant bruyamment. Alana prit discrètement sa serviette et se dirigea sur la pointe des pieds vers la salle de bain où elle ferma la porte.

Dans la salle de bain, Alana retira sa robe d’été trempée de sueur et se regarda dans le miroir. Elle respirait encore fort. Ses muscles, tendus par le jardinage, accentuaient encore sa silhouette déjà ravissante. Après s’être calmée, Alana retira sa robe et baissa sa culotte. Elle ne savait pas trop quoi penser de ce qu’elle venait de voir.

« Je n’arrive pas à croire que je sois restée là sans rien faire, à regarder mon fils… », pensa Alana.

Alana prenait de plus en plus conscience qu’elle souffrait de manque sexuel. Après avoir eu des rapports sexuels tous les jours, parfois plusieurs fois par jour, pendant deux semaines et demie, elle s’y était tout à fait habituée.

« Si Greg ou Sam ne reviennent pas vite, je vais devenir folle », pensa Alana.

Après s’être examinée, Alana passa son majeur sur son pubis soigneusement taillé. Tous les deux jours environ, elle répétait ce geste pour savoir quand il était temps de tailler à nouveau.

« Je suppose que le moment est venu », pensa Alana en passant ses doigts dans la bande de poils noirs au-dessus de son sexe.

Après avoir fait couler l’eau du bain, Alana attendit un instant que la baignoire se remplisse un peu. Quelques minutes plus tard, elle entra dans l’eau chaude et s’assit. Elle s’y laissa aller et ferma les yeux, savourant le bain qui soulageait ses muscles fatigués. Dans sa chambre, James se remettait encore de ses émotions lorsqu’il entendit l’eau couler dans la salle de bain. N’ayant rien d’autre à faire, il décida de jeter un dernier coup d’œil à sa mère. Silencieusement, après avoir saisi son couteau, James s’avança dans le couloir. Avec toute la furtivité d’un assassin, il entrouvrit la porte et plaça la lame de son couteau dans l’ouverture qu’il venait de créer.

« Bingo », pensa James en voyant apparaître le reflet nu de sa mère sur la lame du couteau.

À ce moment-là, Alana ouvrit les yeux et se redressa lentement dans la baignoire. James fut tenté de reculer, mais il resta immobile. Les seins mouillés d’Alana exerçaient une véritable fascination sur son fils. James déglutit difficilement et, de l’autre main, glissa sa main dans son pantalon. Alana, ignorant qu’elle était observée, poursuivit sa toilette. Elle utilisa un gant de toilette et un savon pour faire mousser le savon qu’elle appliqua sur ses bras puis sur sa poitrine.

« Jésus ! » pensa James, tandis que la vue de sa mère se massant les seins lui faisait flancher les genoux et réveillait son sexe.

Alana sortit alors une de ses longues jambes de l’eau et la posa sur le bord de la baignoire. Lentement, elle appliqua une sorte de gel à raser sur sa jambe et le fit mousser. Puis, avec une certaine grâce, Alana commença à se raser les jambes. La scène, pourtant banale pour elle, était presque enivrante pour son fils qui l’observait. James la regardait, sans presque ciller, tout en caressant son sexe en érection. Bientôt, Alana eut fini avec une jambe et recommença avec l’autre. Si cela excitait beaucoup James, ce qui suivit allait lui faire presque oublier ce qu’il venait de voir. Après avoir fini l’autre jambe, Alana se leva dans la baignoire. Le bruit de l’eau qui goutte était très fort. La respiration de James s’accéléra à la vue de sa mère nue devant lui. Alana posa sa jambe gauche sur le bord de la baignoire et prit le gel à raser. Elle en appliqua un peu sur son index et son majeur. Puis elle commença à masser le gel sur tout son pubis. Après avoir fait mousser le gel, elle utilisa son autre main pour enlever une bande de mousse à l’endroit où elle laisserait les poils. Après s’être rincé les mains, Alana commença habilement à raser le duvet piquant sur le côté gauche de son pubis. Après quelques passages, elle essuya la zone avec un gant de toilette, puis vérifia du bout des doigts si la peau était suffisamment lisse. Satisfaite, elle recommença du côté droit.

« Ouais… c’est ça », marmonna James en se masturbant plus vite.

Alors que sa mère nue se trouvait à quelques pas de lui, James était tenté d’entrer dans la salle de bain et de la forcer à avoir des relations sexuelles avec lui, mais il savait qu’il devait attendre. Cela ne l’empêchait pas pour autant de se masturber en la regardant se raser. Satisfait pour le moment, James continuait de se caresser lorsque la chance lui sourit et lui tapota l’épaule.

Alana s’était rasée le pubis d’innombrables fois et maîtrisait le geste à la perfection, mais ce soir-là, elle commit une petite erreur. Ses bras étaient encore un peu fatigués après avoir jardiné plus tôt dans la journée et, sans s’en rendre compte, elle rasa une bande de poils qu’elle laisse habituellement au-dessus de son pubis.

« Mince alors ! » s’exclama Alana en réalisant son erreur.

Réalisant qu’elle n’avait plus rien à faire, Alana appliqua un peu plus de gel à raser et se rasa soigneusement, jusqu’à obtenir une peau parfaitement lisse. C’était une première pour elle. Après s’être essuyée avec un gant de toilette pour enlever les dernières traces de gel, elle ne put s’empêcher de se toucher. La zone était très sensible après ce premier rasage et Alana frissonna légèrement à son propre contact. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres tandis qu’elle contemplait son sexe nu. Elle ne s’était pas vue ainsi depuis l’âge de douze ans environ. Comme une enfant avec un nouveau jouet, Alana fit glisser son majeur le long de la zone de peau lisse juste au-dessus de son sexe. Au bout de quelques instants, Alana réalisa qu’elle était très excitée.

« Ohhhhhhh… » gémit Alana lorsque son doigt entra en contact avec son clitoris.

« Est-ce qu’elle fait ce que je crois qu’elle fait ? » se demanda James en regardant la main de sa mère disparaître entre ses jambes.

Alana ne se masturbait jamais régulièrement ; c’était même rare. Cependant, après une journée aussi éprouvante, elle avait besoin de se détendre. Elle ignorait que, pendant qu’elle se faisait plaisir à quelques pas d’elle, son fils faisait de même.

« Hummm… » gémit Alana en se laissant aller contre le mur.

Alana avait les yeux fermés et les jambes serrées l’une contre l’autre tandis que ses doigts exploraient ses profondeurs sensibles. Alors qu’elle commençait à se laisser aller à ce qu’elle faisait, la première chose qui lui vint à l’esprit fut toutes les obscénités que les deux fils du voisin avaient proférées à son sujet. Bientôt, des images explicites commencèrent à se former dans son esprit : les deux garçons la pénétrant simultanément, ou elle à genoux, suçant leurs deux jeunes pénis.

« Unghhhhhhhh… » gémit Alana en se caressant le sexe ruisselant. James la regardait avec stupéfaction tandis que sa mère se masturbait dans la salle de bain. De sa main libre, Alana pressait ses seins et se mordait sensuellement la lèvre inférieure, savourant pleinement le plaisir qu’elle s’offrait. Bientôt, malgré elle, Alana commença à imaginer le sexe de son fils tout en se caressant. Un instant, elle s’arrêta, incrédule d’être en train de se masturber en pensant au sexe de son fils. Après tout ce temps passé à s’inquiéter pour lui, c’était elle qui aurait dû s’inquiéter. Quelques instants plus tard, son désir la reprit. Sachant que sa raison ne l’emporterait pas, elle recommença lentement à se caresser.

« Ohhhhh…..ummmmmmmmmm… » gémit Alana entre ses dents serrées.

Le simple fait qu’Alana pense à son propre fils l’excitait comme jamais. Bientôt, elle commença à imaginer ce que ce serait d’être pénétrée par l’énorme verge de son fils. Tandis qu’Alana imaginait la verge de son fils glisser dans son vagin, elle sentait l’orgasme monter en elle.

« Oh putain… oh putain… » gémit doucement Alana.

Les cheveux mouillés d’Alana lui tombaient sur le visage tandis qu’elle serrait les dents. C’était la chose la plus érotique que James ait jamais vue. Il observait attentivement le corps de sa mère se mettre à trembler. Après quelques instants, la bouche d’Alana s’ouvrit et elle sembla crier, mais aucun son ne sortit. À ce moment précis, le sexe de James se mit à éjaculer.

« Putain de merde… merde… oh merde ! » gémit doucement James tandis que son pénis projetait du sperme partout sur la porte de la salle de bain.

La mère et le fils étaient épuisés, le souffle court. Alana retira son majeur de son sexe frémissant et tenta de reprendre son souffle.

« Je n’arrive pas à croire que j’ai fait ça… » pensa Alana, les jambes flageolantes.

Alana ne savait pas trop quoi penser de ce qu’elle venait de faire. Au bout de cinq minutes environ, elle ferma le rideau de douche et se rinça.

« Quelle mère se masturbe en pensant à son propre fils ? » se demanda Alana.

James fit de son mieux pour nettoyer le dégât avec sa chemise et finit par regagner sa chambre pour reprendre son souffle. Alana termina sa douche, sortit de la baignoire et commença à s’essuyer.

« Je n’ai pas pu m’en empêcher. Mon Dieu, qu’est-ce qui ne va pas chez moi ? » pensa Alana en s’enroulant une serviette autour d’elle.

Alana finit par ouvrir la porte et se dirigea vers sa chambre. En passant devant celle de son fils, elle jeta un coup d’œil à l’intérieur. Son regard croisa alors celui de James, assis sur son lit. James sourit en voyant sa mère, encore trempée, vêtue seulement d’une serviette. Son expression fit s’arrêter Alana.

« Quoi ? » demanda Alana.

« Oh, rien », répondit James en souriant toujours.

Alana ne put s’empêcher de sourire elle aussi. Elle savait pourquoi son fils souriait, mais, étrangement, elle ne se mettait pas en colère comme elle savait qu’elle aurait dû l’être.

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