Avec un doigt, puis deux, tout en la pilonnant, j’ouvre son anus. Elle ne dit rien, je la sens détendue. Je sors et j’appuie mon sexe sur son petit trou, je m’enfonce, elle halète, je n’ai pas de pitié, je continue, elle crie, mais demande encore en même temps, c’est fou ! Elle prend mes fesses pour m’enfoncer encore plus en elle. Sans ménagement je la défonce, ses cris se transforment en râles, elle ne cesse de hurler encore et encore, et moi de lui claquer les fesses. Je ne me retiens plus et je jouis en elle, longuement profondément. Je m’écroule, épuisé. Elle se redresse, le visage défait, vient me lécher doucement le sexe, le nettoyant avec application. C’est tellement animal.
Elle se remet déjà en position d’attente à genoux, les yeux baissés, je lui demande de venir se lover contre moi. J’adore sentir sa peau douce et tendre contre moi. Comme cela m’a manqué !
— Comment sais tu la position que tu dois tenir à genoux ?
— J’ai lu vos livres cette nuit.
— Mes livres ?
— Oui il y avait un carton dans l’armoire de l’entrée, et plein de livres intéressants.
— Tu as fouillé cette nuit ?
— Oui je voulais vous connaître
— Et tu as compris que j’aimais dominer les femmes
— Oui
— Et c’est pour cela que tu veux, que je te domine ?
— Oui
— Tu aimes cela
— Oui
— Tu veux vraiment devenir ma soumise, ma chienne, mon objet de plaisir
— Oh oui !
Je l’embrasse tendrement, je la caresse, je malaxe son petit bouton pour la faire souffrir, elle s’offre, quand j’en ai fini je lui ordonne de jouir, son orgasme me remplit. Je me demandais ce que j’allais faire d’elle, c’est tout trouvé. Ou plutôt elle a trouvé.
Chloé se révèle une soumise vraiment très excitante. Elle n’a aucune limite, accepte tout et se donne sans compter. Elle a assimilé tout ce qu’elle a lu dans les livres, et sait d’instinct tout ce que j’attends d’elle. La première chose que je fais est de lui faire une garde-robe. D’abord en sous-vêtements, car sa poitrine tombante n’est pas géniale pour des tenues sexy. Je ne prends que des brassières et des culottes coton, j’adore le côté juvénile qu’elle dégage ainsi. Puis nous allons chez des marques jeunes et je ne lui prends que des robes ou jupes sexy et très courtes, évasées accessibles. Je veux lui donner l’aspect la plus salope possible, même si pour l’instant tout ne suit pas. J’ai eu de nombreuses soumises mais jamais une vraie salope qui se donne et s’offre sans limite côté cul.
Un tour chez le coiffeur puis chez une maquilleuse, Chloé intègre très vite ce que j’attends d’elle et s’y conforme. Pour marcher avec les talons aiguilles c’est plus compliqué et je lui fais faire des séances répétées pour que sa démarche soit chaloupée comme il faut. La voir dans de nouveaux vêtements m’excite à chaque fois, et nous les étrennons tous par des baises endiablées, entrecoupée de cravache et canne, pour marquer son corps, ma possession. Chaque fois elle m’en réclame plus, encore plus, c’est enivrant. Et terriblement aphrodisiaque. Elle ne vit plus que le cul toujours rempli, je la sens souffrir, mais me sourire dès qu’elle croise mon regard, m’implorant parfois le soir de lui mettre un plus gros pour qu’elle me sente bien au fond d’elle. Ou de serrer encore plus le corset car elle respire trop facilement. Elle sait provoquer mon désir d’elle.
Nous sortons au moins deux fois par semaine, soit dans des clubs échangistes, soit des clubs fétichistes. J’adore la voir s’enfiler la moitié de la salle, se faire prendre par cinq mecs affamés en même temps, tout en me regardant, et en gémissant son plaisir. Chaque fois que je lui fais un signe convenu entre nous, elle a le droit de jouir, et rempli la salle de ses cris. En club fétichiste c’est différent, je la vends pour des battues un peu exceptionnelles ou des bondages sophistiqués. Sa docilité transparaît de façon évidente, et sa soumission fait de nombreux envieux. Ou envieuses.
Je sympathise avec un couple inverse, assez fascinant. Je dis je, car en parfaite soumise, Chloé garde toujours les yeux baissés et ne prend la parole que si je l’y autorise. Dans ce couple, la femme domine. Elle est grande et puissante, peut-être 15 centimètres de plus que moi. Son soumis, qui est son mari me dit-elle, est aussi grand, une force de la nature, un homme que je trouve très beau. Ils ont tous deux 35 ans et j’apprends qu’il est en fait son esclave. Qu’elle le possède totalement, qu’il n’a aucune voix au chapitre sur rien et qu’ils sont dans le cadre d’une relation non consensuelle. La seule chose qu’il ait fait c’est d’accepter son absolue domination. Ainsi il est enfermé dans une ceinture de chasteté et n’a pas joui depuis près de 5 ans date de leur leur mariage.
Autant je suis fasciné par eux, autant Stéphanie l’est par Chloée, son offrande, sa soumission. Elle a bien repéré comme elle est défoncée par un plug très imposant et comme je la contraint follement à chaque instant. C’est cette attirance mutuelle qui nous fait promettre de nous revoir. Je ne suis pas du tout bi, mais son esclave est très excitant aussi. Quand je lui parle de la poitrine de Chloée, elle partage mon avis et me recommande un chirurgien proche de chez moi qui est parait-il assez magique. L’idée de transformer ma soumise me plaît énormément, je trouve cela terriblement excitant. Quand Stéphanie fouette Chloée, je sens à la fois une grande tendresse et une violence inouïe, comme si les deux étaient liées, comme si la douleur était offerte par Chloé mais aussi par Stéphanie.
Je la regarde, nous sommes dans la salle d’attente du chirurgien recommandé. Je l’aime tellement profondément ma Chloée. Je ne sais rien de plus de son passé, c’est quelque chose de fou, mais finalement cela n’a pas d’importance pour le présent ni pour l’avenir. Cela va juste poser un souci pour son identité. J’ai longuement hésité, mais finalement j’ai pris celle de ma fille qui est partie aux Etats unis. Refaire une carte vitale et une carte d’identité n’a pas été difficile. Quand nous nous installons dans les fauteuils du chirurgien, mu par une impulsion incontrôlée, je présente Chloé effectivement comme ma fille. Le chirurgien est un homme assez grand, affable, plutôt charismatique. Il regarde longuement Chloée, avant de me demander qu’elle se déshabiller. Etrange façon de faire, mais je relaie la demande et Chloé se lève pour se déshabiller complètement. Elle est à la fois le sujet de la consultation, mais traitée en objet.
Je ne l’arrête pas ayant perçu le regard excité du médecin. Si je ne lui ai pas mis de corset exceptionnellement, elle a quand même le cul rempli et bien rempli. Il ne va pas manquer de le voir ! Elle reste debout tandis qu’il se lève. De façon presque magique, son regard change du tout au tout et il devient hyper professionnel. Il tâte sa poitrine, pince sa peau, puis la conduit plus loin pour lui faire essayer des soutien-gorge garnis pour visualiser l’effet que cela ferait. Chloé est enchantée de se voir avec une telle poitrine. Lui ne parle qu’à moi.
— Effectivement sa poitrine a une ptose sévère et la chirurgie s’impose et aura de très bons résultats. C’est même la situation idéale car il y a beaucoup de peau, le muscle est relâché. Vous désirez juste rétablir, dans ce cas c’est surtout un travail pour tirer la peau, ou bien grossir sa poitrine ?
— Oh grossir autant que possible, sans que cela fasse ballon comme les Américains.
— Oui cela c’est horrible. Vu sa forme je penche pour lui faire des seins plutôt en forme d’obus, ils peuvent être assez lourds, je pense qu’on doit pouvoir mettre jusqu’à 500 cc dans chaque sein. Mais cela je le verrai au moment de l’opération.
— Du coup cela donnerait quoi ?
— Un peu plus gros et lourd que ce qu’elle porte.
— Parfait (Chloé a les yeux qui brillent comme jamais, je la sens en extase)
— Si vous êtes d’accord je peux mettre une nouvelle prothèse qui a une rigidité moindre et donne difficilement l’impression que la poitrine a été augmentée. Elle fait très naturel.
— Oh oui parfait. Et du coup en termes de tarif ?
— C’est 8 000 euros, tout est compris, même la chambre et les soins à la clinique et les soins post opératoires.
— Parfait.
— Et tant qu’elle est anesthésiée, est ce qu’il y a d’autres choses que vous voudriez ?
— Je ne sais pas à quoi vous pensez?
— Oh elle n’a rien à revoir elle est parfaite en dehors de sa ptose, mais cela peut être des piercing si cela vous tente ?
— J’avoue que j’adore, mais pour l’instant je la préfère ainsi parée juste de sa beauté naturelle !
Le regard du médecin a de nouveau chaviré, il caresse sa fesse, sa main se pose négligemment sur le plug, Chloé s’offre comme elle sait le faire. De façon très explicite je lui indique que j’attends dans la salle d’attente et qu’il fasse avec elle ce dont il a envie. Cela doit être une habitude, il prend une capote sur son bureau et commence à se déshabiller. Quand Chloé me rejoint, personne ne pourrait imaginer que le chirurgien vient de la sauter longuement !
Chloé semble indifférente à l’opération, aussi bien en inquiétude qu’en désir, je prends un tel plaisir à l’utiliser, la battre, la dilater plus encore. Il est de plus en plus rare qu’elle n’ait pas deux plugs en elle, un pour chaque orifice, qu’elle en soit gênée pour marcher, que cela comprime encore plus son ventre corseté. La contraindre est un délice tant elle s’offre plus encore. Le jour de l’opération est un grand jour pourtant, je suis un peu fébrile quant à moi, ce n’est pas rien. Je suis bien trop attaché à elle et je sais bien qu’un jour nous devrons nous séparer.
Quand elle ouvre les yeux, elle me gratifie d’un sourire extraordinaire, plus profond que ce que j’ai jamais eu droit jusqu’ici. Un énorme bandage recouvre tout son torse déformé par sa nouvelle poitrine vraiment proéminente. Cela me comble de sentir son regard ainsi plus dense, de la sentir plus ancrée, plus incarnée. De façon incroyable, elle me fixe, me dit merci. Un mot inconnu dans sa bouche jusqu’ici, qui me surprend tant elle ne semblait rien attendre. Le chirurgien arrive, plus aucun regard grivois cette fois-ci, comme s’il sentait que quelque chose avait changé. Il m’explique que de façon très satisfaisante il avait pu utiliser des prothèses de 600 cc qu’il avait préparé au cas où et que Chloé allait avoir une poitrine que toutes les femmes envieraient et qu’il était vraiment très fier de son travail, et avait hâte de voir le résultat après quelques semaines. Là je devais sortir afin qu’il change les drains.

