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Chloé

Je croise la vie d’une SDF très obéissante.

Ils ne se connaissent pas avec Chloée, elle les a trouvés sur Internet ! Il a l’air très sympa et finalement ne se prend pas très au sérieux. De façon évidente il trouve Chloé très à son goût mais sans non plus chercher à lui sauter dessus. Sa soumise s’installe à ses pieds tandis que je fais le service pour les dominants seulement. Un bol d’eau pour la salope, c’est lui qui l’appelle ainsi, et pour moi, la chienne. Les deux parlent tranquillement, Chloé lui raconte tout mon parcours, mes désirs sans aucune pudeur, je me sens mis à nu. J’apprends aussi que la salope est une vraie salope, qui adore le crade, et qui cherche sans cesse à aller plus loin dans l’abjection. Et que lui est un peu dépassé par elle, c’est finalement elle qui mène la relation. Chloé dit que c’était la même chose quand je la dominais. Cela me fait frissonner, comme si c’était déjà du passé !

Une fois le service fait, Chloé nous fait pénétrer tous les deux dans la cage à chien que j’ai, pas petite, mais nous sommes vite serrés et le contact avec la jeune femme est électrisant. Sans plus se soucier de nous, Etienne et Chloé montent mieux se connaître ! J’ai un pincement au cœur, car cette fois-ci je n’ai rien contrôlé ni prévu. Mais vite oublié par le contact avec la salope qui s’active à me toucher, à me faire bander malgré mon sac douloureux. Je l’embrasse en ayant l’impression d’embrasser une pissotière, c’est troublant et cela m’excite. J’apprends plus tard qu’elle a fait une pipe à deux clodos en arrivant ! Mes doigts s’égarent dans ses trous accueillant et distendus et elle jouit plusieurs fois de notre inconfort et de nos langues mêlées. J’arrive à jouir dans des douleurs atroces qui me font hurler, mélange de plaisir et de souffrance, j’en pleure presque. La salope s’amuse à me masser le paquet, c’est une vraie perverse. En retour j’enfonce mon poing dans son cul, mais je crois qu’elle apprécie !

Quand Chloé en redescendant nous voit, son air affable disparaît complètement et c’est d’une voix froide et sourde qu’elle nous ordonne de sortir de la cage. Je suis couché et menotté dessus et elle ordonne à la salope de me fouetter jusqu’à ce que le sang coule ! Hein ? Mais non ! Mais je ne dis rien. Un bâillon vient vite étouffer mes cris alors que je me fais massacrer par la jeune femme qui s’y connaît c’est certain. Chloé se fait lécher par Etienne en buvant du champagne, souriant de la situation qu’elle contrôle.

Une fois le sang coulé, en griffant les marques de ses ongles, la salope prend un gode ceinture assez impressionnant et vient me le faire lécher. Elle retire d’un coup mon gode, le lèche devant moi avec appétit, je suis écœuré. Je suis détaché et à 4 pattes, je suce Etienne tandis que je sens mon anus se faire distendre par ce gode qu’elle manie avec douceur, heureusement. Il s’enfonce sans fin en moi, vient buter au fond de mon ventre, je n’émets que des borborygmes, le sexe du Maître enfoncé jusqu’à la gorge. Chloé alterne des caresses masturbatoires et des orgasmes avec des photos qu’elle s’amuse à prendre. La jeune femme est insatiable et je me fais ramoner pendant des heures, je crie pitié mais tout le monde s’en moque, ou plutôt se moque de moi. Les Maîtres en sont à leur deuxième bouteille de champagne, et notre eau a laissé la place à leur pisse que nous avalons avec délectation avec la salope, nous embrassant goulument. Le gode est maculé de traces que la salope lèche avec application et plaisir, avant de faire autant de mon cul. Chloé m’ordonne de l’embrasser longuement, je suis humilié, dégouté, mais mon sexe m’indique que j’adore cela. Il doit être en sang tant sa poche est étroite et piquante.

A genoux aux pieds de la jeune femme, je la bois, ou du moins j’essaie tandis qu’elle me pisse dessus. Chloé a peu participé mais a été l’ordonnatrice, et je la sens vraiment jouir de la situation. Elle n’aurait qu’à claquer des doigts pour que Etienne rampe à ses pieds. Nous sommes épuisés, les deux soumis aux pieds de leur Maître, Chloé masse mon sexe négligemment, comme si elle n’avait pas une conscience de la souffrance terrible qu’elle m’inflige, se nourrissant simplement de mes gémissement répétés et attendant de moi que je m’offre plus encore à sa torture. Avant de partir, elle leur propose un concours. Les trois ont chacun droit à trois coup de pied dans mes bourses, je devrais ensuite dire lequel a été le plus efficace. Où est-elle allé chercher cela ?

La salope est la première à tirer. Elle est en bottine à talon, et prend un bon élan avec son pied. Cette fille est très dangereuse. Le coup m’envoie au tapis, tellement il est violent pas si douloureux, mais trop violent. Les deux suivants sont pareils. Je tremble de peur, je voudrais supplier, je n’ose pas. Etienne est plus précis, c’est douloureux et supportable. Chloé m’observe longuement, et avec ses longues jambes me décoche un coup très précis, la douleur monte au ventre, je retiens une régurgitation, et m’écroule en pleurant. Pourtant sans qu’un mot ne soit dit, je me remets en position. Au troisième coup, je rampe à ses pieds pour la remercier, tout le monde a compris qui a gagné.

On se promet de se revoir, Chloé me fait relever, le jeu est fini, j’embrasse une dernière fois la salope qui ne se retient pas de serrer mes couilles, j’adore cette fille. Douché et rafraichis, je suis allongé la tête entre les seins de Chloée, j’ai retrouvé ma soumise toute tendre et affectueuse.

— Merci ma Chloée, tu as été merveilleuse

— C’est bien ce que vous vouliez ?

— Oui c’était très chouette et ce couple est vraiment sympa !

— J’ai vu comme la salope vous faisait de l’effet, j’étais un peu jalouse !

— Oh non, tu es trop merveilleuse.

— C’est cela dont vous rêviez alors ?

— Oui c’était si fort et tu étais tellement dans le rôle.

— Mais ? Je sens que vous vouliez plus je me trompe ?

— Là c’est une séance, un jeu, tu t’es prêtée à ce que j’espérais. Mais mon rêve a toujours été d’être pris en main par une Maîtresse impitoyable, cruelle, sans aucune empathie ni respect, qui me brise e fasse de moi ce qu’elle veut. Tu comprends ? Que son plaisir ne soit pas le mien, et que je souffre justement de son plaisir et de sa perversité.

— Vous avez envie d’aller jusque là ? C’est comme Stéphanie et son mari

— Oui voire encore plus loin ?

— Comment c’est possible ?

— Un vrai non consentement, avec l’envie de détruire, de faire mal, de me briser pour me dresser à ce qu’elle voudrait, quelque chose d’extrêmement violent et destructeur.

— Et vous voudriez cela ?

— Je te déçois ?

— Oh non pas du tout, j’ai adoré ce soir, et je vous serai toujours obéissante, mais si vous avez envie de cela, est ce que je pourrais être cette femme ?

— Il faudrait justement que tu n’obéisses plus à mes demandes, mais fasse comme tu veux. Et cela je ne sais pas.

— Je sens comme vous vibrez, c’est vraiment cela que vous voulez vivre.

— Disons que tu m’as ouvert une sacrée porte avec cette soirée, je suis encore plein d’émotion. Et c’est vrai que cela me fait trembler de fébrilité. J’ai adoré ce soir.

— Vous m’avez trouvée belle ?

— Oh mon dieu, je n’ai pas de mot, tu étais sublime.

— Vous croyez que vous pourriez entrer en dévotion devant moi ?

— Par ta beauté seule, non, mais si tu es dure, impitoyable, inaccessible, perverse et sadique, oui je pense. Même si je t’ai trouvé incroyablement impressionnante aujourd’hui, je n’avais pas le sentiment que tu jouais du tout et je n’en menais pas large.

— Je ne jouais pas, je me suis lâché, enfin un peu. Je crois que je peux le faire bien plus. C’est très paradoxal que de vénérer la personne qui vous fait autant de mal.

— Oui je crois que mes circuits ont été montés à l’envers. Tu pourrais te lâcher bien plus ?

— J’aimerais vous offrir cette vie, peut être pouvez-vous me laisser quelques jours y réfléchir ? Je crois aussi que vous avoir à mes pieds me plaît beaucoup.

— J’ai très peur tu sais, je ne veux pas te perdre.

— Vous ne pouvez pas me perdre, et vous m’ouvrez de nouveaux horizons.

Elle saisit mon sexe qui bande comme jamais et me conduit en elle. Son regard est intense, si loin de la Chloé que j’ai découverte il y a un an. Elle est si chaude, si douce. Sa poitrine m’électrise autant que d’avoir ravivé ces désirs que j’avais refoulés profondément. Elle me pince les tétons et je jouis en elle en hurlant mon plaisir. Elle me serre fort avec ses jambes.

— Tu as toujours ce désir même après avoir joui ?

— Oui sinon même plus intense. J’ai tellement envie de toi. L’orgasme ne m’a rassasié en rien.

— D’accord. Moi je suis prête à te combler et plus encore. Profite de ta dernière nuit de liberté. Je veux que tu prépares un texte demain pour ton entrée en esclavage que je veux enregistrer. Si je suis satisfaite j’accéderai à ton désir.

— Et sinon ?

— Sinon je partirai. Mais je suis certaine que cela n’arrivera pas !

Je n’ai pas trop profité de ma dernière nuit de liberté comme elle dit. Je suis d’une nervosité incroyable, mon cerveau tourne en boucle, je n’arrive pas à avoir une pensée claire. Je refais dix fois le texte que je voudrais dire, Chloé m’a donné des instructions. C’est bizarre mais avec Chloé je prends sa menace de partir au sérieux. Même si deux minutes avant elle me dit que je ne peux pas la perdre, je crois que si je la décevais autant, rien ne la retient vraiment. De toute façon maintenant les dés sont jetés. Il ne faut pas que je me défile alors que je touche au but de ce dont j’ai toujours rêvé sans jamais oser vraiment l’exprimer. Je me demande si je n’ai pas fait une énorme connerie. Je me suis laissé emporté de fil en aiguille sans trop mesuré ce dans quoi j’allais.

Je suis intégralement nu, à genoux sur un bâton qui me torture les genoux écartés. Je fais face à la caméra qui renvoie mon image sur la grande télévision du salon à côté de moi. Je me sens rempli d’humilité, à ma place et prêt à m’offrir à Chloé sublime à mes côtés. Je sursaute quand la sonnette retentit. Les bottes à talon aiguille font un bruit magique sur le parquet quand elle va ouvrir, Stéphanie est de la partie cette fois-ci.

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