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Chloé

Je croise la vie d’une SDF très obéissante.

— Mon Dieu Chloée, tu es absolument sublime ! Quel homme ne ramperait pas à tes pieds ?

— Venant de toi ce n’est pas rien ! (Chloé est à la fois radieuse mais aussi très concentrée. Elle s’est habillée comme hier soir, et je la trouve encore plus impressionnante, assurée et pleine de force, me sentant moi alors plus vulnérable). Et ton esclave ? Il n’est pas là ?

— Oh je n’avais pas envie de lui ce soir, juste me consacrer à toi. Je l’ai enfermé dans le coffre de la voiture. Rassure-toi il a de quoi bien s’amuser, je l’ai rempli d’un nouveau gode extra large, je pense qu’il va déguster.

— Il a tellement de chance de t’avoir !

— Et ton esclave alors ?

— Pas encore, j’attends sa déclaration, et je voulais que tu sois témoin. Je te dois bien cela !

— Tu ne me dois rien, mais je suis ravie d’y assister. Je savais que c’était un minable et qu’il ne te méritait pas. Je suis bien contente que tu l’aies mis à sa place.

— Il y est venu tout seul, je n’ai pas fait grand-chose. Même si cela me convient parfaitement, je lui reste très obéissante ! (Les deux femmes partent d’un éclat de rire, je me sens humilié. Mais n’est-ce pas la vérité et ce que je désirais le plus au monde ? Mon égo a encore du chemin à faire). Bien Jérôme c’est à toi, le téléphone t’enregistre en 4K, nous sommes toutes ouïes.

J’ai été bien mis en condition, à dire vrai je souffre déjà le martyre avec mes genoux, mais je dois oublier la souffrance et je me lance sans filet. J’en ai toujours fait trop !

— Je m’appelle Jérôme Soignard, je suis né le 14 février 1972 à Mont de Marsan, voici ma carte d’identité qui illustre bien qui je suis. Je parle ici libre de toute contrainte pour exprimer mon désir le plus cher de devenir l’esclave de Chloée, ici présente. Être son esclave c’est ne plus exister que par et pour elle, ne plus rien posséder et que tous mes actifs lui soient transférés, que je sois d’une absolue obéissance, traité comme l’esclave que je suis avec mépris, sans pitié ni respect, vivant dans la contrainte permanente qu’elle décidera de m’infliger en fonction de son bon plaisir. Mon seul plaisir n’est dorénavant plus que le sien et il n’y a aucune limite à ce qu’elle peut faire ou exiger de moi. Tous les abus, tous les excès, toutes les humiliations seront autant de cadeaux qui développeront ma dévotion et mon désir d’elle. En devenant son esclave, je perds absolument tous les droits, ne vivant plus que dans le devoir. Je comprends qu’à ses yeux je ne suis plus qu’un animal domestique dont elle fait l’usage qui lui convient. Je m’engage à ne plus penser et agir que par elle et pour elle, à me plier à toutes les règles qu’elle m’imposera et à assumer ma position si tel est son souhait.

Je me sens curieusement soulagé d’avoir dit tout cela d’une traite. Chloé est venue se présenter à moi et j’ai baisé ses pieds avec ferveur. Malgré la souffrance dingue dans mes genoux. Elle s’absente, montant au bureau et me laissant avec Maîtresse Stéphanie. Je comprends que je suis accepté comme esclave. Plus rien ne compte, je ne contrôle plus rien.

Maîtresse Stéphanie se poste devant moi, m’oblige à baiser ses chaussures malgré l’atroce douleur qui vrille mes genoux.

— C’est bon de te voir ainsi la chienne bien à ta place. Si tu lèves les yeux sur moi j’arrache une de tes couilles. De même si tu émets un son sans autorisation. C’est ton désir, je l’ai bien entendu, tu es encore pire que mon esclave.

— Cela dit je ne suis pas très surprise tu sais. Dès le premier soir de notre rencontre je l’ai dit à Chloée, que tu n’étais pas dominant. Tu le sais bien que tu n’as jamais été dominant, tu étais juste à sa disponibilité pour la rassurer et la faire grandir ! Mais que tu sois aussi salope et femelle, cela est plus inattendu. Et amusant. Je crois que tu n’as pas idée des plans de ta propriétaire.

— Chloé m’a dit qu’elle t’obéissait, qu’il fallait simplement que cela vienne de toi. Et tu l’as servie sur un plateau, en plus dans une relation non consensuelle en lui disant de ne jamais écouté ce que tu pouvais vouloir. Tu l’as libérée de son obéissance, c’est trop drôle, pour le pire pour toi. Mais cela te plaît apparemment, regarde comme tu bandes alors que je mets tes tétons en sang.

— — Profite de bander et bien bander, je crois que tu n’en as plus pour très longtemps du tout.

— Tu sais Chloé est une jeune femme étonnante, magnifique et fascinante bien sur, mais aussi très appliquée, sérieuse dans tout ce qu’elle fait. Et elle t’a construit une relation où tu n’auras aucun moyen de t’échapper. Tu vas ramper, souffrir, vivre dans la peur de lui déplaire à chaque instant. Tu n’auras même plus le temp de penser à ta vie d’avant et à tes pulsions masochistes.

— Je lui ai donné beaucoup de conseils, mais moi qui suis dans une relation des plus extrêmes avec mon esclave, elle me dépasse largement. Tu vas voir cela tout de suite. Sais-tu ce qu’elle fait pendant que nous devisons femelle ?

— Non Maîtresse ?

— Nous allons l’attendre, elle va te présenter son travail. Elle est très inventive. J’ai hâte de la voir te briser et toi regretter, supplier et gémir.

La souffrance dans mes genoux puis mes tétons qu’elle continue de massacrer, provoquant des gémissements mélange de plaisir et de douleur, m’empêche de bien réfléchir et comprendre tout ce qu’elle me dit. Ce que je retiens c’est que je suis bien dans la relation dont je rêvais, mais j’ai le sentiment que c’était planifié du côté de Chloée. Comment cela serait-il possible, je sais bien que tout est venu de moi et surtout tout était en moi depuis le début. Je me dis quand même que je ne contrôle plus rien et que Maîtresse Stéphanie soit impressionnée me fait particulièrement peur.

Quand elle descend, Chloé irradie, je la sens pleine de puissance et d’une beauté incroyable. Je n’ose la regarder de peur d’être battu, mais je sens son regard intense sur moi. Les deux femmes s’embrassent tendrement, Stéphanie la félicite.

— Tu as assez souffert, tu peux descendre du bâton.

— Merci

— Non seulement tu as parlé sans y être autorisé, tu remontes pour 10 minutes, et sans m’appeler Maîtresse. Tu auras 10 minutes de plus. Tu vas vite apprendre ta place chienne.

Je suis mortifié. Je ne songe même pas à protester. Ce qui m’impressionne le plus c’est la voix de Maîtresse. Calme et posée, elle ne s’énerve pas et cela me fait encore plus peur. La souffrance est atroce mais je ne dis rien, j’ai compris.

— Bien il faut te rappeler les basiques, faisons le et je vais te dresser durement si c’est nécessaire. Le principe que j’applique est la punition disproportionnée. Là comme tu commences j’ai été gentille, mais les punitions seront mémorables pour que tu t’en souviennes en tremblant.

— Tu ne parles pas, jamais. Ce que tu penses ou dis m’indiffère. Si tu as quelqueschose à dire, tu le gardes pour toi, en toutes circonstances. Tu ne fais rien qui ne t’aies été autorisé de façon explicite. Tu as le droit, et même le devoir de me regarder en permanence, te remplir de ma beauté inaccessible dorénavant pour toi. J’espère que tu as bien profité de ton orgasme hier, c’était le dernier. Tu vas vite voir pourquoi. (Oh mon Dieu, c’est vrai que c’est mon fantasme, mais j’ai tellement, tellement envie d’elle à cet instant, je crois que mon sexe va exploser ! Et tout ceci devant Maîtresse Stéphanie dont j’entends le rire. Je pense à son esclave enfermé depuis longtemps maintenant.)

— Mais tu ne soutiens pas mon regard c’est une évidence.

— Tu es trop gros et une chienne n’a droit qu’à une gamelle par jour, cela va vite te faire du bien, je veux être fière de ma chienne. Tu manges tout ce que je mets dans ta gamelle, sans une réflexion.

— Pour le reste je vais t’indiquer mes choix et désir au fur et à mesure. J’attends un service exceptionnel, que tu sois uniquement tourné vers moi, que tu m’offres ta souffrance comme tu aimes tant cela.

— (son ton devient plus dur et coupant) Tu te rends compte de ce que tu as fait de moi. J’étais perdue, seule, sans identité, et tu as largement abusé de moi, tu m’as contrainte, battue, faite souffrir, j’ai même du endurer une chirurgie pour toi ! Tu es un être minable, tu n’as pensé qu’à ton petit plaisir de Maîtraillon méprisable, alors que tu n’es qu’une lope soumise, tu n’avais aucun droit sur moi. Comme un con tu es venu te livrer à moi, tu veux du non consensuel, que je fasse de toi ce que je veux, tu vas être servi. Et au moins tu ne vas plus jamais pervertir de femmes comme tu as pu le faire. J’ai lu et vu ce que tu pouvais faire, c’est ignoble.

— Tu voulais pire que Stéphanie et son mari, pas de doute tu vas être servi. Stéphanie, elle aime son mari, moi je veux juste te briser et te rendre au centuple ce que tu m’as donné, et ce que tu as pu faire à tes autres proies. Je n’ai jamais été dupe, et Stéphanie le sait bien.

Je me sens mal d’un coup. Je croyais qu’elle était pleinement contente de ce qu’elle vivait. Je comprends à quel point j’ai été aveuglé, qu’elle n’a fait cela que pour me faire plaisir. Je baisse la tête, humilié, juste rempli de ma souffrance dans les genoux. J’ai envie de pleurer, où est ma douce Chloée. Je la voulais Maîtresse intraitable, mais aussi tendre et chaleureuse. Mais c’est incompatible. Je n’ai que ce que je voulais. Je laisse faire, on verra bien, il sera toujours temps de mettre un stop.

— Lorsque tu as demandé une telle relation, tu n’as pas pensé à mettre une date limite, une règle pour que cela s’arrête. C’est une situation définitive, et un retour en arrière est absolument impossible. J’ai beaucoup travaillé sur ce point, tu vas voir. J’ai créé un blog à ton nom propre ! Il y a déjà plein de choses dessus, regarde sur la télévision, je l’ai branché. Déjà à ton nom ainsi mois après mois il va remonter tout seul en première place dans les recherches.

— Regarde les photos, tu as celles de la soirée d’hier, quand tu es joliment travestie, que tu te fais défoncer par la salope et par son Maître. Là tu la bois, on voit bien que tu adores cela. Oh et là la salope partage avec toi ton gode tout sale, que tu le lèches, tu l’avais oublié ?

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