— Il y a ausse la vidéo que tu viens de faire, avec sa retranscriptions, comme cela il n’y a aucun doute de qui tu es. Il y a une photocopie de ta carte d’identité, ton numéro de téléphone, c’est fantastiques, tu rêvais que cela soit assumé, non ? Je ne me trompe pas, je le sais bien.
— Et tu vois j’ai aussi ton carnet d’adresse, avec tout le monde. Tu dis avoir coupé tous les ponts, mais imagine que tes enfants, tes ex, tes relations professionnelles reçoivent une copie de ce site, tu es certain que cela t’es égal ? On verra bien le moment venu. Tu vois, je ne fais que réaliser tes fantasmes.
— Oh Maîtresse, s’il vous plaît, ce n’est pas possible (je suis hébété, je lui faisais confiance, pourquoi cela, même si c’est un bluff cela me fait peur.
Je reçois un coup de pied dans mes couilles offertes, je ne vois plus rien pendant une ou deux minutes, je halète. La voix de Chloé est toujours aussi calme.
— Quand je te dis que tu ne parles pas, qu’est-ce que tu ne comprends pas ?
— Tu penses que c’est un jeu ? Que je bluffe ? Stéphanie, donne-moi un coup de main, choisis trois noms dans la liste de ses 543 contacts.
Avec horreur je vois Chloé rédiger un mail à trois contacts, dont deux me sont peu connus, mais un est une relation professionnelle proche, les invitant à regarder mon blog personnel à me donner leurs avis, et leur proposant de participer si cela les tentait. Sans hésiter elle envoie les mails, il est encore temps de les annuler, mais elle n’en fait rien. Je suis sidéré, complètement sidéré. Pourquoi a-t-elle fait cela ? Elle ne peut pas mettre des personnes innocentes face à ces perversions immondes. Chloé ne bluffe en rien, elle fait tout ce qu’elle dit !
— Bien maintenant c’est plus clair pour toi ma chienne ?
— C’est bien tu ne réponds pas, tu commences à comprendre
— Regarde sa tête Chloée, il est paniqué (Stéphanie semble aux anges de me déchéance rapide)
— La pauvre chienne, tu te souviens de tout ce que tu m’as demandé ? Te dépouiller de tous tes comptes, cela ne va pas tarder, c’est trop amusant. Déjà tu n’as plus accès à rien et l’usage t’est interdit.
Maîtresse se dirige vers Stéphaine, les deux femmes semblent terriblement excitées, et hurlent rapidement leur plaisir tandis que je gémis sur mon bâton, les larmes aux yeux, prêt à tout pour que ce supplice cesse. Pourquoi je ne descends pas du bâton tout seul ? Cela me semble impossible.
Je suis fasciné par Chloée, sa dureté, sa beauté, sa démarche implacable. Je me remplis d’elle et je dois avouer que cela m’aide énormément à tenir ces 20 minutes de punition. Enfin je suis libéré, je m’écroule par terre. Les Maîtresses ont ouvert le canapé et font l’amour longuement tandis que je les regarde avec envie le sexe proche de l’explosion. Je sais bien qu’il ne faut pas que je me touche, mais c’est tellement difficile. Maîtresse fait une pause, et m’ordonne de tenir à genoux sans bouger. Je dois recevoir dix coups de pied nus dans les couilles. Si je bouge elle recommence. J’ai bougé. Souvent. Et j’ai bien dû en prendre le double avant d’arriver à contrôler les réactions de mon corps à ces souffrances extrêmes. Stéphanie nue la regarde avec ravissement. Moi aussi je dois avouer, elle est tellement élancée et magnifique. Stéphanie aussi.
Malgré la souffrance, je dois leur servir du champagne, elles devisent de moi sans aucune pudeur, je n’existe pas. Je découvre que je vais être enfermé dans un dispositif et que mes couilles vont être suppliciées. Cela m’excite de les entendre ainsi parler de moi. Maîtresse se redresse et décide qu’il est temps de passer aux choses sérieuses maintenant que le cadre a été fixé ! Je me souviens alors dudit cadre et des emails envoyés. Une réponse est arrivée, horrifiée et injurieuse, je comprends que cela sera le cas chaque fois que je fauterai. Je me jette aux pieds de Chloé pour lui exprimer ma totale dévotion et dépendance. Je ne reçois qu’un coup dans la lèvre en retour. Et l’ordre de rester à 4 pattes sans bouger un cil. Je tremble, pas seulement de froid. Je suis extrêmement impressionné et la présence de Maîtresse Stéphanie fait que Maîtresse n’est pas connectée à moi mais à elle, je suis juste à ma place à obéir et servir.
Maîtresse Stéphanie offre à Maîtresse un cadeau contenant un lourd collier en métal brillant avec un anneau.
— Tu vois nous pensons à toi ! Tu vas porter ce collier qui illustrera en permanence ta condition d’esclave à tout le monde. C’est un cadeau de Maîtresse Stéphanie qui tenait à participer aux frais de ta mise en place. Il est sur mesure, et à clé, car tu auras à l’enlever en cas d’urgences médicales. Mais seulement dans ce cas.
Maîtresse me place le collier qui est glacé autour du cou, et j’entends la serrure se fermer. Il est lourd, épais, pas du tout discret. J’aime la sensation, je me sens en main. Je me demande juste comment cela se fait qu’il soit sur mesure? Quand les mesures ont-elles été prises. Il est tellement ajusté, je sais qu’il est sur mesure. Depuis quand cette situation était-elle donc prévue. C’est atroce de ne pouvoir parler ni poser de questions.
— Tu as raison, il est tout de suite à sa place d’esclave. Au moins personne ne va plus douter. Tu fais une photo pour le blog ? Il faut en effet le nourrir.
— Oh oui entre les vidéos et les photos, ainsi que les textes, cela va faire un blog très fréquenté je crois. Je ne suis pas certaine que beaucoup l’envie. Tu sais que c’est une vraie femelle, qu’il a toute une panoplie de fringues sexy pour femme, même des chaussures de 10 cm à sa taille.
— Oh la belle salope, c’est vrai aussi que ce n’est pas un monstre de virilité. Tu vas le féminiser ?
— Tu sais bien, je vais en faire une magnifique femelle, après je ne suis pas certaine de savoir jusqu’où je vais aller. Mais non côté virilité ce n’était pas cela, je pense qu’il est profondément femelle depuis toujours.
— Oh moi je prends les paris, il va finir totalement castré et féminisé, en ayant oublié qui il était.
— Rires, ce n’est pas avec ton mari que tu pourrais faire cela !
— Oh non, lui est beau et viril, ce n’est pas une lope comme ta chienne. J’adore assister à sa déchéance, c’est tellement excitant.
— A propos tu ne veux pas libérer ton esclave ?
— Oh non, nous sommes trop bien, je m’en occuperai demain matin !
— C’est excitant. (Chloé se caresse sans pudeur, nous la voyons jouir avec un énorme sourire). Tu es une femme vraiment sadique avec son mari.
Toutes ces humiliations me rendent dingue, je ne sais pas comment ne pas me toucher et jouir encore et encore. Maîtresse me montre un plug en acier que je connais bien mais que je n’ai jamais utilisé. C’est un plug creux à la taille XXL, il fait 8 cm à l’endroit le plus serré. Elle montre à Maîtresse Stéphanie qu’un gros gode de 5 cm passe au travers du cul. Ainsi avec cet écarteur, il est possible de se vider, mais aussi de se faire prendre par n’importe quoi ou n’importe qui. Je frémis quand Maîtresse indique qu’elle va le mettre dans mon cul et en permanence, en attendant d’augmenter le diamètre. Je n’ai tout simplement jamais réussi à le mettre, aussi je suis très largement anxieux. Stéphanie prend l’appareil pour faire les photos tandis que Maîtresse commence à me travailler le cul.
Elle a mis un gant en latex, du lubrifiant en quantité, et me ramone doucement mais avec conviction. Les doigts l’ont vite élargi, et déjà le poignet est enfoncé. C’est si fort, mon sexe coule tout seul. J’ai toujours aimé l’anal et c’est vrai que je me dilate souvent, mais pas au point de ce plug permanent qu’elle veut me mettre, loin de là. Elle le présente à mon cul après avoir retiré son poing, mais cela me semble impossible qu’il rentre. Maîtresse prend alors mon plus gros gode, qui fait 8 cm et me l’enfonce brutalement, me faisant crier. Elle me lime ainsi longuement, très excitée, alors que je suis à l’agonie. Les sensations sont indescriptibles, insupportables, je gémis sans pouvoir me retenir. Maîtresse Stéphanie qui n’en perd pas une goutte sur la caméra vient la relayer.
Le gode coulisse maintenant librement, je le sens à peine entrer. Je ne suis qu’un cul. Le plug métallique est à nouveau appliqué sur mon cul, mes fesses étirées pour lui faire de la place. La pression mise dessus est incroyable, les deux femmes poussent, je hurle, je suis déchiré j’en suis certain, mais je le sens entrer millimètre par millimètre. C’est horrible. Je crie pitié, mais rien n’y fait. Enfin il se resserre. Un peu. Cela reste monstrueux. Maîtresse est satisfaite, fait des photos qu’elle qualifie d’obscène, moi je suis sanglotant, je supplie de me l’enlever. En retour, Maîtresse Stéphanie serre mes couilles si fort que je tombe à moitié dans les vaps. La sensation est dingue, j’ai l’impression que le bas du corps est immobilisé, cela tire sous mes pieds. Je suis une loque.
Je n’en crois pas mes oreilles quand Maîtresse indique à Stéphanie que je vais garder ce gode deux ou trois mois avant de passer à la taille supérieure. Cela fait quelques minutes et je suis au bout de ma vie. Je ne peux même pas me redresser tant il me vrille le cul. En quelques minutes je suis brisé, je me sens ridicule, et le sourire des Maîtresses m’humilie encore plus. Je ne suis pas au bout de mes peines puisque les deux complices s’attaquent maintenant à mon sexe.
Maîtresse se moque de mes grosses couilles qui pendent, et qui sont si laides. Elle se plaint comme elle a du si souvent les lécher, alors qu’elles puent, et que c’est d’une laideur sans nom. Maîtresse Stéphanie renchérit. Elles discutent de savoir s’il faut les couper, et comment faire pour que cela soit esthétique. Je suis certain qu’elles font cela pour me faire peur. Et cela marche, Maîtresse Stéphanie montre alors les photos de la castration de son mari ! C’est vrai que je n’ai jamais vu ses couilles ni son sexe, mais de là à l’imaginer castré. Les photos et vidéos ne laissent place à aucun doute. Je tremble de peur. Stéphanie prévient Maîtresse de ne faire cela que quand je suis bien éduqué, car après la motivation sexuelle est plus faible, il faut donc que l’endoctrinement soit complet. Et surtout de bien jouer à me faire souffrir avant. J’ai trop envie de pleurer quand j’entends Chloé acquiescer. Elle est tellement implacable.

