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Frère, mère, sœur… Trio !

Une famille explose ses tabous en vacances

Frère, Mère, Sœur… Trio

Tout est prêt, nous voilà enfin partis !

2000 km nous attendent avant d’arriver à la maison qu’on a louée dans les environs de Malaga, en Andalousie, pour passer deux semaines de vacances en famille.

Enfin, en famille incomplète puisque mon père n’a pas pu obtenir ses congés en même temps que nous, alors nous ne serons que ma mère, ma sœur et moi.

On est d’origine marocaine, et pour la première fois on a décidé de ne pas aller au Maroc, mais en Espagne, pour changer un peu.

Ma sœur Amina vient d’avoir vingt ans, et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle a été gâtée par la nature, brune, grande, la peau mate, les yeux noisette, les cheveux châtains, longs et bouclés, elle est plutôt mince, mais avec des formes très généreuses bien de chez nous : un bon 90 D de poitrine, et bon gros cul bien bombé, avec de larges hanches, qu’elle savait mettre à profit depuis qu’elle s’est mise à la danse orientale il y a deux ans, et c’est d’ailleurs à peu près à la même période qu’elle a commencé a s’habiller de plus en plus sexy, avec des décolletés, hauts moulants, minijupes, jeans taille basse avec le string qui dépasse… enfin bref, toute la panoplie de la petite beurette coquine.

Ma mère, elle, a à peine quarante ans, et elle fait plus jeune, à la fois physiquement et mentalement. C’est vrai qu’elle vient du bled, mais elle a su évoluer et aujourd’hui elle est assez ouverte, elle porte par exemple volontiers des décolletés ou des vêtements moulants qui mettent assez en valeur ses formes, plus généreuses encore que celles de ma sœur.

Après 24 heures de route, nous voici enfin arrivés. La joie et l’excitation effacent la fatigue du voyage, et nous découvrons avec la propriétaire qui nous attendait, la maison que nous avions louée. C’est une grande et belle maison, bien agencée et joliment décorée, avec trois chambres, un très grand jardin, et surtout une sublime piscine qui nous promet de bons moments de détente et de plaisir.

On décharge la voiture, chacun choisit sa chambre et range ses affaires, avant de déjeuner puis de faire une bonne sieste bien méritée.

Vers quatre heures, on se lève, et l’on se retrouve à la cuisine pour manger un morceau et discuter un peu du programme à venir, et on exprime tous notre satisfaction quant à la maison avec sa piscine, et au cours de la conversation ma sœur a eu cette phrase prometteuse :

— Mais je vous préviens, on n’est pas au bled là, et en plus y a pas papa, alors j’aimerais bien me lâcher un peu sans qu’on me prenne la tête…

Et ma mère de répondre avec bienveillance :

— T’inquiète pas on te laissera tranquille, hein Mehdi ?

— Oui oui, t’inquiète, répondis-je

Tous à la piscine !

On s’est changé, je suis le premier à y être, rejoint tout de suite après par ma mère qui arrive à en maillot de bain… et là, je me dis : Ma mère aussi veut se lâcher ou quoi ? En effet, même si elle a l’habitude de porter des maillots deux-pièces, cette fois-ci son maillot est presque un bikini avec des échancrures très prononcées.

Ma sœur, elle, a toujours eu l’habitude de porter des bikinis, et même, quand mon père n’était pas là, ma mère lui permettait souvent de retirer le haut, c’est donc avec plaisir que j’attendais de voir le cru de cette année, et avoir encore le bonheur de regarder sa belle grosse poitrine de si près…

Et quelques minutes plus tard, la voilà, avec une serviette de bain nouée juste au-dessus de la poitrine, et une fois au bord du transat, elle défait sa serviette, et là, ce n’est pas juste un bikini habituel qu’elle porte, mais je vois, ébahi, que le bas est un minuscule string ficelle qui dévoile complètement son cul ! C’est vrai qu’il mettait superbement en valeur ses belles fesses bien charnues et fermes à la fois, mais c’était quand même un peu choquant, alors immédiatement je lui dis :

— Attends, c’est ça ton maillot ?!

À cette phrase, ma mère se retourne vers ma sœur, et voyant son string minuscule, elle lui dit :

— Ah oui là t’y va fort quand même …!

— Vas y maman, vous m’aviez promis que vous me prendriez pas la tête cette année

— Et tu vas enlever ton haut évidemment ?

— Ben oui !

— Oué donc tu vas être à poil alors …!

— Vas y, franchement les traces de bronzage ça craint, c’est classe comme ça… on est en famille là c’est rien…

— Bon ok, fais comme tu veux…

— Merci maman !

Étonné par la permissivité de ma mère, je dois dire que je n’arrive pas à décoller mes yeux du corps super bandant de ma sœur, avec sa belle poitrine généreuse, et surtout son bon gros cul que je découvre pour la première fois…

S’en suivent de belles heures de baignade et de détente, avant de rentrer à l’intérieur, et de se changer pour sortir faire quelques courses.

Au détour d’une rue, et au vu du nombre de jeunes filles, principalement des touristes anglaises, extrêmement dévêtues, pendant que ma mère est à la caisse d’une superette, je dis à ma sœur sur un ton coquin et de défi :

— T’as vu, les meufs ici, elles ont l’air plus bonnes et plus ouverte encore que toi…

— Plus bonnes, ça m’étonnerait, mais plus ouvertes, on dirait que oui, mais t’inquiète, elles peuvent pas me battre… me dit elle en rigolant

De retour à la maison, on traîne un peu, avant de se préparer à sortir dîner en ville.

Ma sœur porte alors une robe noire moulante, très ouverte au niveau de la poitrine ce qui permet de voir facilement qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, et super courte, à la limite de la décence, d’autant plus qu’elle porte aussi des mules à talons hauts, qui accentuaient encore plus ses courbures.

— Et, franchement, là on dirait grave une p….!

— Ben quoi, je t’ai dit qu’on ne pouvait pas me battre ! me répondit-elle en rigolant

Ma mère, elle, une fois de plus, ne dit rien…

Au cours du dîner, je m’amusais à observer tous les mecs, évidemment, mater ma sœur dans sa tenue provocante, et il faut dire que je ne me privais pas moi non plus de mater son décolleté pigeonnant et ses cuisses dénudées…

De retour à la maison, tout le monde se couche, heureux de cette première journée de vacances.

Le lendemain, grasse mat, on se lève à dix heures, et l’on se retrouve dans la cuisine pour le petit-déj, et après, on décide de partir à la plage.

Arrivés à la plage, on trouve tant bien que mal une petite place au milieu de la foule et on installe nos serviettes. Je me mets en maillot de bain, ma mère aussi, le même qu’hier, découvrant largement sa poitrine et une partie de ses fesses, et ma sœur aussi, enlève sa robe et dévoile sa nudité quasi totale puisque elle ne portait que son string ficelle en dessous, ça devait être réservé à la maison, mais bon, faut dire qu’elle n’est pas la seule à être en string sur cette plage, ça doit peut-être rassurer ma mère qui ne dit toujours rien…

On part ma sœur et moi sur le bord de l’eau voir si elle était bonne, et je ne peux pas rater tous les regards qui fixaient les fesses et la poitrine alléchante de ma sœur, je dois dire que j’en étais presque fier, en tout cas, je lui dis sur le ton de la plaisanterie par convenance :

— Sérieux, tu vas faire bander tous les mecs avec ton cul et tes nichons à l’air comme ça…

— Ah bon, tu crois ?… Ben tant mieux pour eux !

Revenus à nos serviettes, ma sœur dit à ma mère qui était allongée sur le dos :

— T’as pensé à te passer de la crème solaire au moins…?

— Ah non, j’ai oublié, je vais en mettre,

— Ben attend, je t’en mets moi…

Elle se rapproche d’elle et au moment d’ouvrir la bouteille, elle dit à ma mère :

— Franchement maman, regarde, presque toutes les femmes font du monokini, alors pourquoi pas toi ? Les marques de maillot ça craint grave ! enlève ton haut, c’est les vacances, y a pas papa, personne nous connaît, profites !

— Quoi ?! tu veux que je montre mes seins ici devant tout le monde, et devant ton frère en plus ?!

— Allez, c’est rien, regarde, elles le font toutes, et Mehdi je suis sûre que ça le dérangera pas, hein Mehdi ?

— Ah non non, moi y a pas de problème…

— T’es sûr Mehdi ?

— Ben oui, en plus c’est vrai, tu seras pas la seule, et pour une fois on est pas au bled ici, alors autant en profiter un peu…

— Oué c’est vrai… mais alors on dit rien à votre père !

— Ben oui maman !

Et là, je vois ma sœur me faire un grand sourire complice comme si nous avions remporté une victoire, une victoire sur la pudeur et les principes traditionnels de ma mère. Elle a aussitôt tiré le cordon attaché dans son dos pour enlever son haut et là c’était une magnifique explosion de chaire, l’énorme poitrine de ma mère jaillit superbement, ses seins étaient encore plus gros que ceux de ma sœur, elle doit bien faire du 95 E, ils se maintenaient un petit moins bien que ceux de ma sœur, mais ils restaient très beaux à voir, et je dois dire que j’étais fasciné par le spectacle excitant de cette énorme poitrine de ma mère que je voyais pour la première fois d’aussi près…

Je me ressaisis parce que je sens qu’avec ma sœur presque à poil que j’arrête pas de mâter, et maintenant les seins de ma mère, l’érection que je tente désespérément d’arrêter, est en train de s’affirmer et étant donné l’étroitesse de mon maillot de bain, ça va se voir…

— Attends maman je vais te mettre de la crème maintenant

— Ok, vas y…

Et là, le spectacle continue, et je ne peux m’empêcher de le contempler, je vois ma sœur passer de la crème solaire sur le corps de ma mère et je la vois en mettre aussi, sans retenue, sur la poitrine dénudée de ma mère en prenant soin de bien l’appliquer, ce qui fait de son geste un pelotage en règle de sa poitrine, que je vois être tirée, massée, serrée dans les mains de ma sœur, je commence vraiment à bander, ça m’excite de plus en plus.

Quand elle a finit, ma mère lui dit :

— Tu veux que je t’en mettes moi aussi ?

Pris dans cette ambiance de plus en plus chaude, je me suis permis d’intervenir à cet instant :

— Non, laisse, je vais lui en mettre moi, ok ?

— Ok, laisse le maman, il va m’en mettre lui, allonge-toi

Le rêve ! je vais, sous prétexte de passer de la crème, pouvoir toucher et caresser le corps superbe de ma sœur, qui m’excitait de plus en plus, et surtout son bon gros cul offert au regard de tous…

Elle s’allonge d’abord sur le dos, je lui passe de la crème sur les jambes, en étalant bien des pieds jusqu’au haut des cuisses et aux hanches, puis sur le ventre, puis je remonte encore tout doucement pour atteindre ses superbes seins que je m’applique à caresser et masser longuement, je les sens bien fermes dans mes mains, là je dois dire que la sensation est tellement agréable que je bande ferme, ce qui provoque une belle grosse bosse dans mon maillot de bain, je tourne alors tout à coup ma tête vers ma mère que je croyais allongée les yeux fermés en train de bronzer, mais que je la trouve allongée sur le côté en train de me regarder peloter ma sœur en me lançant un petit regard coquin avec un large sourire complice, l’air de dire : « je vois ta bosse entre les jambes, je sais que tu te régales petit cochon ! » Un peu gêné, je fais comme si de rien n’était et je continue d’étaler la crème. Ma sœur se retourne sur le ventre et je recommence avec l’intérieur de ses jambes, puis je passe directement aux épaules et au dos, et là ma sœur me dit : « Mets-en aussi sur mes fesses s’il te plaît »

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