LUCIEN
Ce soir-là, j’ai appelé une agence de call-girls pour avoir une séance un peu spéciale.
– Que désirez-vous exactement ? me demande la femme au bout de la ligne
– Euh… je voudrais une femme … Dominatrice.
– Il y a plusieurs niveaux de Domination, me dit-elle après quelques secondes. Vous pensez à quelque chose en particulier ?
– Oui. Euh… une femme un peu sévère et qu’elle porte un gode-ceinture.
– Je vois…Très bien, je sais qui vous envoyer. Mais j’ai encore quelques petites choses à vous demander. Allez prendre une bonne douche. À partir de maintenant vous ne touchez plus à votre queue, COMPRIS ? Ça, c’était plus un ordre qu’une demande.
– Oui Madame, j’ai compris.
En ce moment j’ai regardé ma queue toute dure dans ma main et instantanément ai arrêté de me branler. Ensuite la même voix au téléphone m’a demandé mon adresse et dit que dans une heure j’aurais de la visite. J’ai essayé de réclamer pour le temps d’attente, mais elle m’a répondu que l’attente faisait déjà partie de la séance. Enfin elle m’a donné d’autres instructions et dit comment je devais m’habiller pour recevoir Madame Dominique, et sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit, elle a raccroché.
Exactement 45 minutes après, on a sonné à la porte. Ensuite, la clef, que j’avais laissé, selon les instructions sous le paillasson, a tourné dans la serrure et j’ai entendu la porte s’ouvrir et des talons résonner sur le parquet. Mes instructions, que j’avais suivi à la lettre étaient de me doucher, me raser le pubis, la poitrine, les aisselles et les jambes, de m’habiller avec uniquement un tablier et de me mettre à quatre pattes sur le lit et devais regarder le côté opposé à la porte, vers laquelle étaient tournées mes fesses. Il m’avait été formellement interdit de regarder la porte sauf si j’en recevais l’ordre. Pour ne pas me faire trahir par ma curiosité et désobéir, je me suis bandé les yeux. La chambre devait être illuminée uniquement avec des bougies. Indiquer plus facilement la chambre à Madame Dominique, je devais faire des panneaux en papier avec des flèches pour indiquer le chemin, et accrocher ces panneaux aux murs. Détail important, ces panneaux devaient aussi porter des obscénités et des insultes contre ma propre personne et décrire ce que je voulais de Madame Dominique. J’avais alors donné libre cours à mon imagination : « je suis une salope », « je veux me faire défoncer comme une vraie pute », je serai votre chienne Madame », « faites de moi Votre esclave », « Permettez-moi de nettoyer vos chaussures avec ma langue », « que Votre Sceptre Royal (GODE) soit long et gros, comme je les aime ».
J’ai ensuite entendu la porte de ma chambre qui s’ouvrait et des choses qu’on posait par terre.
– Bonsoir Madame, soyez la bienvenue, j’espère que Vous avez apprécié l’accueil, dis-je un peu intimidé.
– Et comment ! Il n’y a pas de doute ! pour une surprise, c’était une bonne surprise mon chéri, meilleure que la mienne.
En un instant, j’ai réalisé que je connaissais très bien cette voix. C’était Simone, ma fiancée. Elle était partie en voyage et ne devait rentrer que deux jours après. Je me suis rappelé qu’elle avait ses clés. Mon sang a glacé et ma gorge séché. Je défis mon bandeau et me suis retourné, en sachant pertinemment qu’elle avait dû tout comprendre.
– Je … je peux t’expliquer, Simone.
– Je crois que ça va, tu attendais quelqu’un d’autre. Mais ce n’est pas grave. On va l’attendre ensemble. Remets-toi comme tu étais, sale pute.
Elle est venue jusqu’au lit, me donna une grande tape dans les fesses, griffa ma queue bandante avec ses ongles longs, me remit mon bandeau et nous avons attendu les 10 minutes les plus longues de toute ma vie. Passé ce temps, la clef a tourné à nouveau dans la serrure et de nouveaux pas ont résonné sur le parquet.
SIMONE
La semaine de conférences avait été un peu pénible, mais j’étais contente de rentrer à la maison quelques jours plus tôt pour rencontrer mon chéri. En plus j’étais anxieuse pour lui montrer mes nouvelles bottes. Elles sont marronnes, me montent jusqu’aux genoux, avec des bouts pointus et des talons hauts. Je me sentais très sexy avec elles, mais aussi avec une certaine puissance.
Dès que j’ai ouvert la porte de l’appartement, j’ai été un peu étonnée de ce que j’ai lu sur le papier accroché au mur (« je suis une salope »). Et les écrits devenaient plus « chauds » à mesure que j’avançais dans le couloir et suivais les flèches qui menaient vers la chambre. Je me demandais ce que j’allais y trouver. Un peu anxieuse, j’ai ouvert la porte de notre chambre. Lucien était là, à quatre pattes, nu et bandait comme un âne, le cul tourne vers la porte. Il portait aussi mon tablier de cuisine et avait les yeux bandés. Quand il s’est rendu compte que c’était moi et non pas la personne qu’il attendait, il a voulu s’excuser et se justifier. Hors de question ! Il attendait quelqu’un ? Alors, on l’attendrait ensemble. J’ai pris les devants et l’ai ordonné de revenir à la position dans laquelle je l’avais trouvé. J’ai parlé doucement mais avec l’autorité de quelqu’un qui n’était pas prête à écouter, ni à en débattre et il m’a immédiatement obéi. Lucien tremblait visiblement. Je suis alors allée m’asseoir sur le canapé à côté du lit et ai allumé une cigarette, en lui envoyant la fumée sur la figure, ce qu’il déteste. Qui que ce soit la femme qu’il attendait, ce devait être une femme Dominatrice, les écrits étaient très explicites. Une Dominatrice à laquelle il était soumis, sans que je ne me sois jamais rendu compte. J’enrageais ! Qui ça pouvait bien être ? Sa secrétaire ? La fille du dessus qui se fait baiser deux et souvent trois fois par nuit ? C’est en me posant ces questions que j’ai regardé le téléphone et le magazine posé à côté que j’ai tout compris. C’était le Guide du Fétichiste à Paris, ouvert sur une page d’annonces d’amatrices, de salons etc., avec un numéro d’une agence de call-girls surligné. Voilà ! Il avait appelé une call-girl Dominatrice ! Il voulait jouer à des jeux de Domination/soumission ? Alors on allait jouer ensemble. Il fallait faire vite car la personne devrait arriver bientôt. Je suis allée me déshabiller, à exception de mon porte-jarretelles et de mes fameuses bottes neuves, qu’il allait devoir goûter aussi, puisqu’il semble aimer ça.
On a entendu la porte d’entrée s’ouvrir et des pas sur le parquet. La porte de la chambre s’est ouverte et une belle femme a fait son apparition. Elle était noire, grande, plus grande que moi et peut être même plus grande que Lucien. Elle portait un pantalon jeans très serre qui marquait bien ses cuisses, mais aussi (PUTAIN) une grosse bosse entre ses jambes. Elle avait visiblement des gros seins, un air sévère et des bottes pointues et aves des talons hauts, plus larges et plus hauts que les miens.
– Bonsoir, Madame, lui dis-je en prenant les devants.
– Je ne savais pas que ça devait être pour deux personnes … mais ce n’est pas grave. Je peux travailler en double…
– Non … enfin … je suis désolé de Vous interrompre, ce n’est que pour lui, je suis sa femme et voudrais qu’on le fasse à deux, cette salope mérite bien de se faire défoncer et mettre au pas.
– D’accord … Pas de problème … Je suis Madame Dominique.
– Je m’appelle Simone et lui c’est…
– Notre salope. N’est-ce pas, salope ?
– Oui, Madame Dominique.
J’étais complètement émerveillée par la soumission de Lucien et par la présence de cette Femme. Elle lui a enlevé son bandeau et dès qu’il l’a vue, sa queue s’est mise à grossir encore plus.
Madame Dominique prend alors une laisse, qu’Elle attache autour du cou de Lucien. Elle le tire vers Elle au point que sa bouche est collée à Sa jambe et à l’énorme bosse formée par son gode-ceinture emprisonné à l’intérieur.
– Alors comme ça, cette salope veut se faire baiser devant sa femme ? Tu as l’air d’être une bonne pute bien soumise. Et toi Simone, comment est-ce que tu veux participer ?
– Je ne sais pas Madame Dominique … Je n’ai jamais fait ça.
– Alors tu seras mon élève, d’accord ?
– Oui Madame Dominique.
– Veux-tu être sa Femme Dominatrice ? Le baiser autant que tu veux.
– Oh oui, Madame. Je veux qu’à partir d’aujourd’hui il devienne ma salope.
– Très bien, mais sache qu’au-dessus de toi, il y aura toujours Moi. J’aurai toujours 1 priorité sur lui et tu ne recevras des ordres ou des instructions que de Moi. Compris ?
– Oui Madame Dominique, j’ai compris.
– Voyons de quoi tu es capable. Dans Mon sac tu trouveras du matériel. Sers-toi.
LUCIEN
Simone ne s’est pas fait prier. J’étais au comble de la honte et du désir. Cette Femme était extrêmement belle, ma queue très dure et ma femme très enragée. Simone a ouvert le sac et en a sorti beaucoup de matériel, qu’elle a posé sur le canapé. Ensuite elle est allée dans la salle de bains, certainement pour s’habiller. Pendant ce temps, Madame Dominique, m’a ordonné de lécher la longueur de son gode à travers ses jeans. Le gode ne semblait pas très long mais devait avoir 4 ou 5 bons centimètres de diamètre. Ensuite, Elle a déboutonné son pantalon et m’a donné ses fesses à lécher.
– Tu es vraiment une pute. Lèche Mon cul sale chienne, et en disant cela, Madame Dominique a écarté Son string pour laisser passer ma langue.
– Merci, Madame Dominique
– Très bien. Tu es vraiment une bonne pute. Lèche, Lèche Moi bien l’anus. Deviens Mon esclave. …Ah oui … enfile ta langue plus loin salope
–
Ma langue a pénétré dans ce trou serré et commençait à aller de plus en plus loin. Madame Dominique tenait ma tête pressée dessus et poussait en arrière. Plus je léchais et plus je me sentais autant humilié qu’excité. À cet instant, Simone est apparue à côté de cet anus que je léchais. Je me suis retourné vers elle et vu qu’elle portait les mêmes bottes et le même porte-jarretelles, mais maintenant portait aussi un énorme gode-ceinture.
– Je demande la permission d’intervenir, Madame Dominique.
– Accordée. Montre-lui qui commande.
– Assez léché des culs salope. Suce-moi, me dit-elle, tout en me crachant dessus.
– Oui, Madame
– MADEMOISELLE SIMONE. Tu vas m’appeler comme ça maintenant, salope. T’as oublié qu’on n’est pas mariés ? J’ai d’ailleurs d’autres plans pour la suite de notre relation.


