« Tu te touches en me léchant ? » demanda-t-elle tandis que je tirais sur mon pénis. Il n’était pas vraiment dur, mais il n’était pas mou non plus.
« Ouais, j’ai tellement envie de faire l’amour, chérie, tu crois qu’on pourrait faire l’amour ? » J’ai levé les yeux vers ma femme ; le sperme de son amant coulait de mon menton.
« Chérie, ce n’était pas prévu », dit-elle en se caressant le sexe tandis que j’accélérais le rythme. « Samuel ne va pas aimer ça… »
« Il n’a pas besoin de le savoir ! Je vais faire vite », je sentais déjà l’orgasme approcher à nouveau.
« Tu promets de ne pas nous déranger, Samuel et moi, ce soir ? » J’ai hoché la tête en remontant le long de son corps. J’ai pris un instant pour sucer et adorer ses gros tétons.
« Je te le promets, je t’en prie », ai-je supplié. Carrie a recouvert mon pénis d’une épaisse couche de sperme de son amant. C’était si bon d’être touché par elle.
« D’accord, mais je ne veux ni te voir ni t’entendre avant demain matin, compris ? » J’ai hoché la tête rapidement tandis qu’elle plaçait mon sexe douloureux contre le sien, brûlant de désir. Cela faisait une semaine que je n’avais pas été dans cette position.
« Oh merci chérie », ai-je dit en essayant d’embrasser ma femme, mais elle a tourné la tête.
« Baise-moi, baise-moi fort ! » Carrie m’a attiré contre elle et mes quinze centimètres ont pénétré son vagin déjà rempli de sperme. C’était une expérience surréaliste ; ma femme avait toujours été si serrée, mais les rapports fréquents avec son amant, bien plus grand, l’avaient détendue.
« Je ne sens rien ! » dis-je, incrédule. J’avais l’impression d’avoir plongé mon pénis dans un bol de pudding chaud !
« Moi non plus, je ne te sens pas, mais continue d’essayer », dit-elle en riant. Je me suis agité désespérément pour tenter de ressentir quelque chose ; ma femme semblait plutôt amusée.
« Samuel a dit qu’il allait me gâter pour toi », dit Carrie en se caressant le clitoris. Je me suis retiré et j’ai regardé mon pénis couvert de sperme.
« Ça va se resserrer, n’est-ce pas ? » dis-je, commençant à m’inquiéter.
« Peut-être, mais je ne suis pas sûre de le vouloir », dit-elle avec un sourire diabolique. J’ai commencé à me masturber, en utilisant le sperme de Samuel comme lubrifiant.
« Qu’est-ce que tu racontes ? Chérie, tu sais bien qu’on ne peut pas continuer comme ça. » J’espérais encore que Carrie ne me quitterait pas.
« Je te dis que tu ne peux pas me donner ce dont j’ai besoin ! Ton pénis est trop petit et tu éjacules trop vite. Il me faudra des grosses bites désormais », je la voyais se caresser le clitoris.
« Chéri… »
« Allez, dépêche-toi de finir, je veux aller prendre une douche avec mon copain ! » Je n’ai pas pu me retenir plus longtemps et quelques gouttes de sperme ont jailli de mes testicules. Il a coulé inutilement sur mes jointures avant de tomber dans les draps.
« Oh, je crois que tu aimes me partager », dit Carrie en se redressant et en m’embrassant la joue. « Allez, sois sage et file, on se voit demain. » Elle sortit du lit et se dandina vers la salle de bain. Ses fesses étaient magnifiques.
« Carrie, je t’aime ! » ai-je crié alors qu’elle entrait dans l’autre pièce. Elle n’a rien répondu, a ouvert la porte de la douche et a rejoint son amant sous le jet d’eau chaude. Je les voyais s’embrasser et rire aux éclats pendant que je me levais pour m’habiller.
Quand je suis sorti, Samuel était derrière ma femme, en train de la baiser une fois de plus. Carrie gémissait et pleurait tandis qu’il la remplissait de son magnifique pénis.
J’essayais de m’occuper à l’hôtel tout en résistant à la tentation d’espionner ma femme et son amant noir. Je me suis fait quelques amis à la piscine et j’ai même rencontré un charmant jeune couple gay de mon quartier. Tandis que nous discutions au bord de la piscine, j’ai aperçu ma femme et Samuel marchant main dans la main vers la plage. Ils étaient si beaux et si heureux ; ma femme rayonnait tandis que Samuel la présentait fièrement.
Plusieurs heures passèrent sans que je les revoie. Je dînai seul et pris quelques cocktails. Soudain, j’aperçus ma magnifique épouse et Samuel traversant le hall. Carrie était sur son trente-et-un et d’une beauté à couper le souffle. Ils sortirent et montèrent dans une limousine qui les attendait, avec deux autres couples mixtes.
J’étais terriblement triste et jalouse en voyant la voiture noire s’éloigner à toute vitesse. J’ai décidé de retourner dans ma chambre et d’essayer de me reposer. Je pensais avoir quelques heures avant leur retour.
J’ai été choqué de constater que tous les bagages de ma femme avaient disparu de la chambre. Ça empestait le sexe, comme s’ils venaient de faire l’amour. J’ai trouvé un mot sur les draps imbibés de sperme.
« Kevin, je suis désolée, mais je ne rentrerai pas avec toi demain. Samuel m’a demandé de rester avec lui et je compte bien le faire. S’il te plaît, n’essaie pas de me dissuader et ne viens pas me chercher. On en reparlera à mon retour. Je t’embrasse, Carrie. »
C’est alors que j’ai remarqué l’alliance de Carrie sur la table. Je me suis assis sur le lit et j’ai éclaté en sanglots. Je n’arrivais pas à croire que mon mariage était terminé, que j’avais perdu ma femme au profit d’un autre homme.
Le lendemain matin, j’ai pris un taxi pour aller chez Samuel et j’ai exigé de pouvoir parler à ma femme. Samuel m’a frappé si fort que j’ai failli perdre connaissance. Il a dit que si je revenais, il me tuerait. Je ne voulais plus l’énerver, alors je me suis enfui.
J’ai pris un taxi directement pour l’aéroport, d’où j’ai pris l’avion pour rentrer chez moi, tout seul. Je n’avais pas eu de nouvelles de ma femme pendant deux semaines, le temps de reprendre le travail et de faire comme si de rien n’était.
C’était insupportable de ne pas savoir où elle était ni ce qu’elle faisait. J’ai essayé de l’appeler, mais elle ne répondait pas. Le pire, c’était la nuit, quand j’étais seul. J’ai fini par décider de me soulager en me masturbant. Je ne m’étais pas masturbé depuis le voyage et j’étais vraiment excité.
J’ai allumé mon ordinateur portable et je me suis connecté à mon site web préféré. Mon cœur a failli s’arrêter en voyant la nouvelle scène mise en avant. C’était une photo d’une netteté incroyable de ma femme et de Samuel, tous deux nus sur la plage.
« Venez voir la plus chaude des salopes blanches se faire prendre par la plus grosse et la plus noire bite de l’île ! » annonçait le titre. Bien sûr, j’ai cliqué sur le lien et je suis tombé instantanément sur une image animée de ma femme et Samuel en train de baiser sur la plage. On me voyait clairement en arrière-plan, au milieu d’un groupe d’hommes qui les regardaient.
« Cette femme au foyer sexy supplie pour une bonne giclée, tandis que son mari n’en a aucune idée ! » disait une autre légende. Il y avait une scène qui semblait avoir été filmée dans notre chambre d’hôtel et une autre chez Samuel.
Bien sûr, j’ai payé les 49,99 $ pour avoir un accès complet à toutes les scènes. Pendant les trois jours suivants, je me suis masturbé sans cesse devant les quelques dizaines de vidéos mettant en scène ma femme et son amant noir bien membré ! Il y avait même quelques scènes avec eux et cette rousse du bar et son petit ami bien doté.
Carrie est instantanément devenue une star du site. Ses vidéos cumulaient des milliers de vues par jour et, finalement, leur contenu s’est retrouvé sur les sites de streaming. Des hommes du monde entier en redemandaient !
Un jour, ma femme m’a appelé à l’improviste alors que j’étais au travail. J’étais ravi d’entendre sa voix lorsqu’elle m’a demandé si je pouvais la ramener de l’aéroport. J’ai accepté avec joie et j’ai quitté le travail sur-le-champ.
Carrie était resplendissante, mais je voyais bien qu’elle était dévastée de devoir quitter ce paradis tropical et son amant bien doté. Elle m’a à peine adressé la parole pendant le trajet du retour et s’est aussitôt enfermée dans notre chambre une fois rentrés. Je l’entendais pleurer pendant des heures, sauf lorsqu’elle était au téléphone avec Samuel.
Une semaine plus tard, Carrie m’a annoncé que Samuel avait obtenu son visa étudiant et qu’il la rejoindrait dans les semaines suivantes. Elle m’a demandé si je pouvais lui trouver un logement avant son arrivée ; j’ai de nouveau refusé, expliquant que je ne voulais pas divorcer.
Deux semaines plus tard, j’ai trouvé le test de grossesse positif de Carrie à la poubelle. Je l’entendais au téléphone, en train de parler et de pleurer avec Samuel à propos de la bonne nouvelle. Carrie ne me parlait toujours pas beaucoup et passait beaucoup de temps avec Kelly et Grant, car ils étaient tous les deux ravis d’être enceintes.
J’avais déjà emménagé dans la chambre d’amis pour qu’elle soit plus à l’aise. Carrie voulait toujours divorcer, mais j’espérais qu’on puisse arranger les choses. J’ai repoussé le dépôt de la demande et la recherche d’un appartement.
J’essayais d’être présent et de soutenir Carrie, car après tout, j’étais encore amoureux d’elle. Elle souffrait de terribles nausées matinales et était malade pendant des heures. Je prenais soin d’elle et faisais de mon mieux pour la soulager. Je l’ai même conduite à son premier rendez-vous chez le gynécologue.
C’est lors de ce rendez-vous que j’ai vu le corps nu de ma femme pour la première fois à la lumière du jour depuis son retour à la maison. Elle s’est déshabillée sous mon regard. Ses gros seins naturels étaient déjà bien plus volumineux et gonflés. J’ai constaté que son sexe était toujours parfaitement épilé, comme Samuel l’aimait.
Carrie avait un corps de star du porno, elle était tout simplement sublime. J’ai été choqué de voir qu’elle avait les tétons percés et un tatouage juste au-dessus du pubis. C’était une interprétation du coureur jamaïcain et de la dame de pique.
Je n’ai pas pu m’empêcher de la regarder lorsqu’elle a écarté les jambes dans les étriers. C’était indéniable : un piercing argenté brillait à son clitoris. Le médecin lui a conseillé de le faire retirer avant la fin de sa grossesse.
Le médecin m’a lancé un regard entendu en remarquant le tatouage de ma femme au début de l’examen. Carrie semblait si heureuse de voir le petit cœur battre sur l’écran de l’échographie. Je lui tenais la main, les larmes aux yeux. Je devais me rappeler que ce n’était pas mon bébé.
