J’aurais dû réaliser que c’était trop beau pour être vrai. Tout fonctionnait trop bien, trop facilement. Il devait forcément y avoir des conséquences. Mais bientôt, vous verrez qu’il y en eut… C’est mon histoire…
Ma vie sexuelle avec Liz était devenue terne et ennuyante. Ma femme était tellement belle : elle avait 24 ans, mesurait 1 mètre soixante-quatre, pesait 52 kilos et possédait un bon 95C de poitrine, avec des jambes magnifiques, un cul parfait et de longs cheveux bruns légèrement frisés lui descendant jusqu’à la taille. Il n’y a vraiment pas d’autres mots pour décrire son visage fin que celui d’un ange. Son père était Italien et sa mère hollandaise. Sa peau couleur d’olive est parfaite. De douces pupilles couleur azur, accentuées par ses longs cils, vous captivant par leur promesse de douce innocence. Son nez est fin, sans défauts. Et ses lèvres : large, généreuse et rouge. Lorsqu’elle se met à bouder, vous feriez tout ce qu’elle vous demande. Elle pourrait facilement créer des embouteillages si elle prenait des habits qui auraient mis en valeur ses formes, mais ce n’est pas son genre. Elle ne se trouve pas jolie et mes efforts pour l’en convaincre n’étaient pris que comme simples compliments obligatoires d’un tendre mari. Je vous avouerais que ce n’est pas son corps qui m’avait attiré le premier, non pas que j’ignorais sa beauté.
À l’époque, j’étais fou d’amour d’une autre. Se que j’avais remarqué en premier chez elle, s’était sa gentillesse, sa façon de plaisanter et de rire, et sa capacité a s’entendre avec tout le monde. C’est ce qui m’avait captivé. La première fois que nous fîmes l’amour, je faillis m’étrangler de surprise, m’apercevant qu’elle possédait toutes les beautés d’une actrice porno. C’était comme une merveilleuse surprise qu’elle m’avait caché. Elle ne le montrait jamais, pensant qu’elle était bien plus simple que cela. Le mauvais côté des choses, c’est qu’elle ne faisait pas l’amour comme une actrice. C’était gentil, doux et affectueux, mais ce n’était jamais sensuel, érotique ou animal.
Nous étions ensemble depuis deux ans et j’étais plutôt heureux. Mais très bientôt j’obtenu un nouveau travail et une bonne baise commença a me manquer. La raison à cela était probablement due à mon patron, Paul, ou plus particulièrement à sa femme, Kathy.
Kathy avait un tempérament totalement différent, elle était très provocatrice. Elle n’hésitait pas à mettre son corps en valeur. Elle faisait bien 1m79, bien qu’en faisant toujours 81 avec ses chaussures à talons. Un tour de poitrine d’au moins 95 D, si ce n’est pas 100. De longues jambes sensuelles, des cheveux rouge feu qui tombaient dans son dos comme d’une rivière. Kathy avait des yeux verts humides de chatte en chaleur. Tout le contraire de Liz. Ces lèvres n’étaient pas aussi généreuses que celle de Liz, mais elle était très attirante. Je ne pense pas les avoir jamais vus sans cet effet de brillance donnée par son vernis de rouge à lèvres, donnant une irrésistible envie de les lécher. Elle avait quelques taches de rousseur autour de ses yeux et de son petit nez. L’effet de rougissement sur ses joues était dû à son maquillage qu’elle semblait utiliser parfaitement chaque jour. Utilisant sagement de son mascara, de son stick à cils, même les contours et la couleur de ses lèvres étaient maquillés, l’un complémentant l’autre. Sa tenue vestimentaire était constamment excitante, moulant ses formes sans gènes.
Elle se déplaçait comme une sirène dans l’eau, avec élégance et sans gestes brusques. Elle aimait les regards des hommes sur elle et se mettait même à jouer avec eux. Un frémissement exagéré par ici, un ajustement de sa jupe par la. Son jeu favori était de vous regarder dans les yeux, entrouvrir sa bouche et vous faire apercevoir sa petite langue. Si elle restait dans une salle plus de 5 minutes, je peux vous garantir que tous les hommes de la pièce avaient leurs pantalons déformés. Et, je savais qu’elle se donnait fréquemment à Paul, car je les avais surpris un jour au boulot.
Ce fut ce jour-là que je découvris que ces visites durant l’heure du repas n’avaient pas pour seul motif de manger avec lui. Je le vis se tenir prés de son bureau. Elle était à genou devant lui, son haut défait jusqu’à ses hanches, et son sexe en bouche. Elle le suçait comme si c’était ELLE qui y prenait du plaisir, ce qui était probable. Son membre mesurait au moins 22 centimètres et demi, au moins 4 centimètres plus grand que moi et bien plus large, ce qui était proportionné, car Paul faisait 1 mètre quatre-vingt, presque 90 kilos, soit 6 centimètres de plus que mois et 15 kilos de plus. Il était imposant et charismatique et je comprenais facilement pourquoi il était avec une fille aussi canon. Ma femme acceptait aussi de me sucer, mais elle ne le faisait pas très bien. Je n’avais jamais joui dans sa bouche et je doutais qu’elle l’accepte si je le voulais. Sa chatte douche et étroite me satisfaisait suffisamment cependant. Quoi qu’il en soit, Paul me fit un clin d’œil discrètement alors que Kathy avalait son membre en gémissant et, ce que je m’aperçus en partant, se doigtant, 3 doigts profondément ancrés en elle.
Un après-midi après que Kathy ait quitté le bureau, j’ai demandé à Paul comment il arrivait à la supporter. La façon dont elle s’habillait et sa façon de chauffer tout son entourage, n’était-il pas inquiet de la voir aller vers un autre ? Paul se mit à rire et me dit que Kathy ne le tromperait jamais, parce qu’elle avait besoin de son membre. En faite, il adorait l’idée de savoir tous ses hommes fantasmer sur elle en vain. Je lui demandai alors « Et si une queue plus grosse se montrait ? »
Il se mit à rire de nouveau. « Il y aura toujours une queue plus grosse, Jim. Le secret, c’est de les mettre dans un tel état d’excitation, et de les combler tellement chaque jour que, pour elles, c’est ton sexe qu’elles veulent parce que c’est une partie de toi. » Il resta silencieux pendant un temps avant de me demander « N’en est-il pas ainsi entre toi et Liz ?
« Non. » Répondis-je. « Je veux dire, oui et non. Liz ne me tromperait jamais, mais pas à cause de mon membre. Ça serait tellement bien. Je ne dis pas que je n’ai rien dans le pantalon, mais la mienne n’est pas aussi grosse que ces gars sur les vidéos… ou que la tienne. On s’aime beaucoup tous les deux, mais j’aimerais tellement si elle pouvait s’habiller un peu plus sensuellement et si elle assurait un peu plus au lit, mais cela ne lui ressemblerait pas. »
Paul sourit, « Reste un peu plus longtemps après le staff, Jim. Je te montrerais quelque chose que tu risques d’apprécier. »
Dès que l’heure de débauche sonnât, je me dirigeai jusqu’à son bureau, et il éteignit les lumières et déclencha la télévision à l’aide d’une télécommande. Nous praires une chaise et regardâmes Ma Tendre Dame. Je n’arrivais pas à croire qu’il me faisait regarder ce film en entier. Je n’arrêtais pas de lui demander ce qu’il y avait d’intéressant, mais Paul ne répondait rien et m’incitait à regarder encore, comme si quelque chose d’inattendu allait bientôt se produire. Puis ce fut la fin. Il ralluma les lumières alors que je lui demandai d’une voix sèche. « Bon, et alors ? »
Il arborait un grand sourire. « Et bien… comment te sens-tu ? »
J’y réfléchis un instant avant de réaliser. « Légèrement excité. »
J’étais maintenant confus. Paul attrapa une autre vidéo et m’assura que celle-ci serait bien plus courte. Il laissa les lumières allumées. Nous regardâmes la vidéo d’une bibliothécaire coincée et obstinée qui rencontre un homme grand et charmant qui la séduit et la baise comme une chienne en manque. Elle le supplia en regardant sa queue, elle le suça, la prise dans sa chatte avant que l’homme ne s’introduise dans son cul. Elle était tellement bruyante lorsqu’il la chevauchât, beuglant des « Baise-moi ! Prends-moi comme une putain ! Je suis ta chienne ! »
La vidéo n’avait durée qu’une demi-heure. J’aurais aimé que la durée de cette dernière et de la précédente ait eu été échangée.
« Et maintenant, comment te sens-tu ? »Demanda-t-il.
« Gonflé à bloc, qu’est-ce que tu crois ? »
« Prends Ma Tendre Dame et regarde-la avec ta femme. La deuxième vidéo est en faîte ensellée dans la première. Tous deux ont le même thème. Une femme est transformée. Ma Tendre Dame permet d’améliorer ses désirs, s’apprécier et aimer son homme. L’autre augmente son désir sexuel, sa passion et la transforme également en esclave sexuel à celui qui satisfait ses désirs. »
Je n’arrivais pas à croire ce que j’entendais. « Et tout ce qu’elle a faire pour changer, c’est de regarder cette vidéo ? »
« Eh bien, ce n’est pas aussi simple, » répliqua-t-il. »Elle doit la regarder respectivement. Les changements viendront progressivement, mais tu verras les résultats au bout d’une semaine, je te le garantis. C’est le temps que ça a prit pour Kathy. »
« Kathy??? »
« Ouais. Elle était aussi conservatrice que Liz. »
« Mais comment je vais lui faire regarder constamment ? »
« Cette idée est également dans la cassette. Si tu peux lui faire regarder deux ou trois fois alors, elle utilisera son temps libre soit à te faire l’amour, soit à regarder la vidéo. Dans les deux cas, tu es gagnant. »
Je remerciai Paul à plusieurs reprise et ramenât la vidéo pour la regarder avec Liz. La première nuit nous fit l’amour avant d’aller nous coucher. Il n’y eut évidemment aucun changement. Je me convainquis qu’il n’y en aurait jamais, mais j’espérais secrètement que quelques parties de la vidéo allaient marcher. La nuit d’après, je la remis en prétextant qu’il n’y avait rien d’intéressant sur les chaînes actuellement. »
Elle s’assit à mes côtés et je vis qu’elle modifiait sa position à chaque fois qu’Eliza faisait un pas de plus vers son titre de Dame. Était-ce intentionnel ou bien était-ce à ces endroits que Paul avait rajouté les vidéos de sexe subliminal que nous avions regardé ? Ça paraissait sensé.
De retour dans la chambre a couché, je fis exprès de ne rien commencer. Alors que nous étions couchés, elle se colla a moi, comme à l’accoutumée, mais ses mains semblèrent tomber suros membre, alors qu’il était coincé dans mon pyjama. Nous restâmes silencieux pendant quelque temps. Je fis semblant de m’endormir. Rapidement, ses doigts s’entourèrent sur ma bite et sa main me serra gentiment. Mon sexe trembla puis grossit. Je tins mes résolutions et ne fis aucun mouvement. Elle poussa sa chance et commença à me masturber. Lorsque je me tournai finalement face à elle, elle se rapprocha de mon visage pour m’embrasser. Je la serrai contre moi, pressant mon sexe contre elle. Ses bras m’entourèrent et son bassin se frotta à moi gentiment. Mon pantalon de pyjama disparut rapidement et Liz se mit sur moi, me faisant entrer en elle avec expertise. Nous commencions avec notre rythme habituel. Liz était magnifique avec ses cheveux flottant contre ses épaules et ses seins retenus dans sa nuisette. Je déteste ces soutiens-gorges serrés qu’elle portait toujours, pressant ses seins contre elle. Elle posa ses mains sur mon torse afin d’amplifier le mouvement. Était-elle plus attentionnée que les autres soirs ? J’espérais tellement voir un indice me prouvant que cette vidéo marcherait que chacun de ses mouvements me semblait être des signes. Ses gémissements semblaient plus forts, ses mouvements accentués, son visage en manque. Je tins plus longtemps qu’à mon habitude à cause de toutes ces pensées. Elle jouissait trois fois avant que je ne me vide en elle.


