in ,

Ma mère est enceinte

Depuis que je sais que maman est en cloque, je ne décolère pas.

Ma mère est enceinte

Mais qu’est-ce qui leur a pris aux parents de fabriquer ce môme ?

Moi je ne demandais rien à personne et surtout pas un mouflet qui va venir m’emmerder et me pourrir ma vie tranquille dans cette famille bourgeoise et sans histoire aucune. Ils sont débiles ou quoi ? Pour se replonger dans les histoires de couches à changer et de biberon en pleine nuit ! Après être sorti d’affaire avec moi qui ai maintenant treize ans et me débrouille très bien seul, je ne vois pas vraiment pourquoi ils ont fait ça. Sans doute la peur de vieillir qu’éprouvent certains bipèdes quand ils approchent de la quarantaine comme papa. Maman, elle, elle frise les trente-cinq. Jusqu’ici, elle vivait sa petite vie bourgeoise entre le tennis et le shopping et les thés pris entre copines chez l’une ou chez l’autre. Une vie confortable et sans souci quoi, très bourge, très aisé, très con aussi, mais c’est un autre problème.

Depuis que je sais que maman est en cloque, je ne décolère pas, je fais la gueule carrément.

J’ai l’air de quoi dans ce tableau ? Les potes à l’école ne vont pas tarder à me faire des réflexions du style « tiens, ta mère est enceinte ? À son âge, tu vas avoir un petit frère ou une petite sœur, veinard va ! » ou encore plus cru « elle est en cloque ta vieille ?!!! » ou bien

plus ironique : « ils ne s’embêtent pas tes parents on dirait ! dis donc, qu’est-ce qu’il lui a mis ton père ! » Je sais que certains n’hésiteront pas à mettre en doute la paternité de mon père en prétendant qu’à cet âge c’est souvent un autre qui est le vrai père. Bref, je devrai passer par toute sorte de réflexions et ça j’ai du mal à l’admettre, d’autant plus que je n’ai pas envie de me mettre tout le monde à dos, peinard je vous dis, peinard, je n’ai pas besoin d’embrouilles.

Ils sont gagas depuis qu’ils savent. Mon père est aux petits soins avec maman, il lui épargne tout ce qui est pénible à la maison, il fait le ménage. Il m’énerve et je préfère prendre la tangente quand il est là. Heureusement, ce n’est pas souvent, papa est du genre businessman, toujours sur la brèche et par monts et par vaux. Il est rare qu’il soit là en semaine, toujours entre deux avions et deux fuseaux horaires. Maman n’a qu’à se la couler douce pendant ce temps, c’est pourquoi je n’arrive pas à comprendre cette sorte de cata qu’ils m’ont tricotée sans rien me dire.

Remarquez, ils n’avaient pas à me demander la permission pour faire leur connerie, mais quand même, s’ils m’avaient demandé avant j’aurais mis mon veto. Mais c’est trop tard, maman est enceinte et il n’y a pas à y revenir.

Elle sent bien que je fais la gueule, ça la chagrine. Elle essaie de rattraper le coup, mais je me dérobe pour montrer mon hostilité, je me tire, je fous le camp, m’éloigne de cette baraque.

S’ils veulent pouponner qu’ils le fassent sans moi.

Mais je sens que maman, ça la rend triste mon attitude, elle sent bien qu’ils ont gaffé et qu’ils auraient du me demander. Elle fait des approches, me sourit et essaie de me parler dans les coins. Rien à faire, je m’esquive et je fuis. Je la trouve et peu con avec son ventre qui n’arrête pas de grossir, ses seins qui ont gonflé et doublé de volume. Fini le tennis, pas question de courir après la petite balle avec son gros bidon, elle sort moins aussi et reçoit davantage ses copines hystériques à l’idée que maman soit enceinte. Je ne vois pas ce que ça leur apporte à elles, mais elles sont toutes excitées comme des puces, j’en sais même qui sauteraient bien le pas pour emboîter le pas à ma mère et se faire faire un gosse elles aussi. C’est contagieux comme état et ça provoque des confidences, car j’ai beau fuir, je ne suis pas très loin, à porté de voix pour entendre ces dames se plaindre de leurs maris dont l’ardeur au lit faibli. Elles voudraient bien elles aussi se faire faire un petit avant que n’arrive la quarantaine, enluminer leurs vieux jours par des babillements juvéniles, mais monsieur ne veut pas ou bien il est trop fatigué d’avoir gagné trop de pognon dans la journée, ou d’avoir déjà eu ce qu’il voulait avec sa secrétaire si dévouée. Elles savent toutes ces dames ! j’en suis sur le cul, même les coucheries de leurs maris. Elles devinent, instinctivement, et connaissent leurs bonhommes sur le bout de leurs doigts manucurés.

Remarquez, elles ne sont pas en reste cotées sexe, ce n’est pas les galants qui manquent surtout que généralement elles sont bien balancées les mémés, je le sais, je mate, je vois leur corps encore bien roulé et leurs cuisses bien fuselées quand elles sont assises sur notre canapé profond. J’en ai même vu qui me montraient plus que je n’aurais dû voir.

Bon, je m’éloigne du sujet. Maman fait des efforts considérables pour me rattraper par la manche, elle me fait mes plats préférés, mais j’y touche à peine. Elle m’achète des fringues, des baskets, des trucs et des machins. Quand je suis dans ma chambre, elle vient me voir et me prend dans ses bras. Elle me colle contre sa poitrine volumineuse, je m’enfonce là-dedans comme dans un édredon. C’est doux et dur à la fois, si elle continue elle va me faire bander. Tiens c’est fait ! je me paie une gaule pas possible, j’essaie de me retirer, mais elle me tient fermement contre elle, ma frime s’imprime dans ses nichons, merde, j’étouffe entre ses roploplos rebondis. Je voudrais respirer, remonter à la surface, temps pis j’y mets les mains, c’est ma survie qui en dépend. Je prends le sein de maman dans ma main et je masse pour me donner de l’air. La vache c’est bon cette chair élastique, maman ne dit rien et sent bien que je manque d’air, elle relâche son étreinte et me laisse respirer, mais ma main est toujours à la même place, je ne peux me défaire de cette sensation voluptueuse. Maman me sourit toujours, je la regarde, ma main palpe son sein gonflé, c’est dur et tendre, drôle de sensation. Je sens que je rougis à vue d’œil, l’émotion, ma bite est dure dans mon pantalon, voilà que je bande pour maman maintenant !

Ma main joue toujours avec son sein, j’en palpe la rondeur et je sens le téton qui durcit à chaque fois que je passe ma paume sur lui. Le sourire de maman se fige un peu, elle prend ma main et arrête le mouvement qui était le mien. Elle glisse ma main sur son ventre rond et me fait caresser la rotondité de son abdomen. Je suis fasciné et me laisse faire, son ventre est dur et plus rond que je ne l’imaginais. Elle est enceinte six mois, mais je n’ai jamais touché un ventre de femme enceinte. Ma main se promène sur son ballon, de gauche à droite j’en prends la dimension, et de haut en bas aussi, ma main glisse sous son nombril jusqu’au pubis. Je la regarde dans les yeux, elle est troublée, je le sens. Moi j’ai peu d’expérience féminine, juste quelques attouchements au bal de l’école, une main dans la culotte pendant un slow, peu de choses. Mais je sais ce qu’est une chatte de femme !

Ma main glisse toujours, j’ai envie de voir jusqu’où je peux aller sans me faire rabrouer. J’ai la main sur la chatte maintenant, carrément, maman réagit enfin et se recule un peu « voyons Fabien ! ». Je me lève et je prends sa main pour la mettre sur la bosse qui orne mon pantalon. Maman a rougi violemment, mais sa main reste ou je l’ai mise. « Je ne savais pas que je te faisais cet effet », me souffle-t-elle. Je ne réponds rien, l’instant paraît si irréel. Je tends les bras vers elle et la prends dans mes bras. Je ne sais plus ce que je fais, j’ai envie d’elle et elle ne se dérobe pas. Je sens son ventre qui repousse le mien, ses seins qui refoulent ma poitrine et je l’embrasse dans le cou. « Non ! Fabien ! » mais elle ne bouge pas quand mes mains se promènent sur son dos de ses épaules à ses fesses. J’embrasse furieusement ses épaules alternativement et avec fougue. Mes mains palpent le bas de ses reins, ses fesses sont fermes, je sens la culotte qui glisse sous es doigts. J’ai remonté la robe de grossesse et je flatte la chair nue, je suis passé sous son slip et je masse ses globes fessiers. Maman halète dans mes bras, surprise par mon attaque soudaine, elle ne bouge plus et se contente de temps en temps de murmurer « Fabien ! » d’un ton de tendre reproche et de surprise.

Je ne m’arrête plus, sa robe remonte entre mes mains, j’ai défait la fermeture dans le dos et le vêtement glisse sans difficulté par-dessus ses épaules. Maman est en soutien-gorge noir, sa culotte est assortie, mais ce qui me fascine le plus est ce ventre proéminent qu’elle pousse devant elle comme un trophée. J’en prends plein les yeux : son ventre gonflé, ses seins dardés comme des obus.

Je perds un peu les pédales et je me précipite pour défaire l’agrafe du soutien-gorge, je le lui arrache plus que je ne l’enlève. Les seins bondissent vers moi, leurs aréoles sombres et les tétons durs et saillants. Maman me regarde, vaguement apeurée alors que je me rue sur ses seins et embouche un téton que je me mets à téter furieusement. « Fabien, Fabien, mon chéri, qu’est-ce que tu fais, oh, Fabien ! qu’est-ce que tu fais ? », je n’écoute plus, je tète ma mère tandis que mes mains s’égarent sur son corps. Je sens bien qu’elle n’est pas contre, que ça lui fait du bien, mais il y a le poids du qu’en-dira-t-on, si ça venait à se savoir, l’infamie de l’inceste, la honte perpétuelle d’avoir fauté avec son fils. Elle résiste et se tortille tandis que ma main fouille sous sa culotte, je suis dans la jungle chaude de sa toison. Vache ! elle est fournie maman, c’est dru et serré, mes doigts naviguent au radar à la recherche d’une grotte probable que je n’arrive pas à situer encore. Elle a beau balancer des « non ! » sans trop de conviction, je lui fouille la foufoune et je parviens à l’entrée de sa case au trésor.

C’est chaud et humide, je glisse mes doigts le long de sa fente poilue, elle essaie de se soustraire, mais je persiste dans mon attouchement. Je sens à sa respiration saccadée que je lui fais du bien, elle a envie, mais elle ne veut pas encore l’admettre.

Je la pousse sur mon lit où je l’allonge. Elle proteste « Fabien ne fait pas ça, non Fabien ! », mais je n’en ai cure je continue mon exploration, j’ai ouvert les grandes lèvres de son sexe et je masse son clitoris érigé et dur sous mes doigts, une vraie petite bite et qui bande. Il me plaît ce petit bout de queue et je le titille entre mes doigts agiles. Je sens que maman ne va pas tarder à partir au septième ciel, car elle halète sous mes caresses. Sans prévenir la voilà qui se raidit, elle me tend son bas-ventre et se met à râler un son de gorge que je ne lui connaissais pas. Elle donne des coups de reins dans le vide et pousse un cri aigu en agitant la tête de tout côté, je viens de faire jouir ma mère.

Signaler

Fan ou Pas Fan ?

54 Points
Fan Pas Fan

Laisser un commentaire

Seule au congo

Seule au Congo

Jeu de noël

Jeu de Noël