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Vengeance sans lendemain

Personnellement, j’ai des envies un peu plus poussées, comme l’exhibitionnisme ou le voyeurisme…

Vengeance sans lendemain

J’ai 44 ans et me prénomme Gabriel. Je suis marié depuis de nombreuses années avec Camille, 42 ans, et nous n’avons pas d’enfants. Nous avons tous les deux une bonne situation professionnelle et sommes de bons épicuriens. Je fais 1m82 pour 77 kg et suis assez sportif. Je m’habille conventionnel pour le bureau et sportswear le reste du temps.

Camille, mon épouse, est assez grande (1m71) pour 56 kg, brune aux yeux marron, bien faite, les hanches bien dessinées et les seins bien lourds (95C). Elle s’habille aussi très classiquement et raffole de lingerie. Elle porte au moins un article sexy sur elle chaque jour, pour mon seul plaisir, et est toujours très sexy pour nos ébats. Une vraie bourgeoise en fait.

Au niveau sexuel, notre couple se situe dans une moyenne plus qu’acceptable, acceptant les pratiques les plus courantes sans difficulté : fellation, cunnilingus et sodomie. Personnellement, j’ai des envies un peu plus poussées, comme l’exhibitionnisme ou le voyeurisme, longtemps restées des fantasmes, mais que j’assouvis depuis plus de deux ans avec une maîtresse Elodie, de onze ans ma cadette, et accessoirement ma secrétaire.

Elodie, 1m65 pour 48 kg, est blonde aux yeux bleus, le cliché de la parfaite secrétaire. Elle a de petits seins (85A) et un cul à damner un saint. Elle porte tous les jours une jupe (courte ou longue) par-dessus des bas autofixants ou avec porte-jarretelles.

Vu la situation de mon couple, prendre une maîtresse peut paraître bizarre. Pourtant, je réalise avec Élodie des choses que je n’oserai jamais demander à ma femme. En effet, outre quelques exhibitions légères, j’adore filmer nos ébats chez elle que je me repasse tard le soir quand Camille est couchée et depuis longtemps dans les bras de Morphée. Bien entendu, les cassettes vidéo VHS, que je numérote sans autre indication, sont soigneusement cachées au fin fond de mon bureau, derrière les tiroirs. J’ai aussi deux cassettes de mes ébats avec Camille que j’ai filmés sans qu’elle le sache et que j’adore regarder chez Elodie pendant que je fais l’amour avec elle.

Au mois de juin dernier, tard un dimanche soir, je vais prendre une cassette dans le bureau pour m’exciter avant de retrouver Elodie le lendemain. J’en saisis une, la 6, que je laisse de côté tout comme la 8, avant de prendre une cassette qui ne porte bizarrement aucun numéro. Cette cassette m’interpelle et m’angoisse subitement. Que fait-elle là ? Camille aurait-elle tout découvert ? Qu’y a-t-il sur cette cassette ? Un seul moyen de le savoir.

Je mets la cassette dans le lecteur et m’installe dans le fauteuil face à la TV. Après quelques secondes, les premières images apparaissent cadrant le lit conjugal depuis l’armoire, semble-t-il (lieu où j’avais caché la caméra lorsque j’ai filmé en douce mes ébats avec Camille). Camille, sur l’image, s’éloigne de la caméra et vient s’asseoir sur le coin du lit, se tournant vers l’objectif. Elle est habillée comme d’habitude d’un tailleur simple et commence doucement à parler :

« Mon chéri, ne sois pas étonné, il y a fort longtemps que je connais la cachette dans ton bureau où tu ranges tes revues érotiques ou pornos et les cassettes de film du même genre. Je ne te mentirai pas et j’avoue avoir plusieurs fois les week-ends où tu partais faire ton golf, regarder tes revues ou tes films et en avoir éprouvé du plaisir en solitaire.

Depuis plus d’un an, j’ai pu constater que tu es aussi un bon acteur toi-même, et que je ne me débrouille pas mal non plus sans le savoir. Je suis juste un peu chagriné de constater que je n’ai pas toujours, loin de là, le premier rôle féminin à tes côtés.

Aussi j’ai décidé de te prouver que je mérite ce rôle et j’ai donc réalisé ce petit film que je t’invite à regarder entièrement. »

Elle se lève et se dirige vers la caméra avant d’ajouter :

« Au fait, il est 11 heures, nous sommes aujourd’hui le 14 avril, et, comme tu peux t’en rappeler, je ne travaille pas de la journée afin de préparer tranquillement notre anniversaire de mariage ce soir. À tout de suite. » Elle éteint l’enregistrement.

Je suis estomaqué ! Quel idiot ! Je n’ai pas le temps de m’en vouloir que le film reprend. La caméra filme de nouveau la chambre, à partir d’un autre angle plus rasant. Camille a dû la poser sur une chaise. Mon épouse apparaît de nouveau à l’image et s’assied de nouveau sur le lit. Elle ne porte maintenant plus que des sous-vêtements blancs que je reconnais immédiatement ; sa lingerie de mariage composée d’une guêpière porte-jarretelles, de bas blancs et une petite culotte transparente. Je me souviens qu’elle avait parlé d’en racheter un exemplaire à sa taille.

« Me revoilà !! Il est près de 16 h 30 et je vais devoir me dépêcher, car tu vas rentrer vers 18 h 30, ce qui ne me laisse que deux heures. J’ai déjà tout préparé dans le salon pour notre tête-à-tête ce soir, mais il me reste tout de même la cuisine à faire. Pour le menu, je te propose en entrée une salade légère avec vinaigrette et concombre, mais je suis bête, tu t’en rappelles sûrement puisque tu l’as déjà mangé. »

Effectivement, l’entrée avait été suivie de deux soles au beurre blanc et brocolis, puis par des îles flottantes, le tout mangé aux chandelles avec mon épouse dans une tenue sexy formidable ; petite nuisette noire ouverte sauf au niveau du col, tombant sur de bas noirs. Et rien d’autre. J’en ai bandé toute la soirée. Mais mon épouse continue en prenant par terre un objet hors du champ de la caméra :

« Voilà, mon chéri, le concombre que tu as mangé ce soir ! Non ne pleure pas, avant d’être dégusté, il a eu droit à un traitement de faveur. »

Camille s’allonge alors sur le lit et écarte les jambes face à la caméra. Elle se repositionne légèrement pour être bien en face et elle doit donc en même temps se voir sur l’écran de la TV de la chambre. Elle glisse sa main dans sa culotte, par-dessus sa toison et commence à se masturber doucement. Après quelques instants, elle écarte le tissu du slip en enfonce deux puis trois doigts dans son minou. Je constate qu’elle mouille abondamment très excitée certainement par ce qu’elle fait. De mon côté, je commence à bander lorsque je la vois subitement s’enfiler le concombre et l’activer frénétiquement comme un godemiché dans son sexe. Cela dure 5 bonnes minutes avant qu’elle ne s’effondre de plaisir sur le lit. Après quelques instants, tout en me gratifiant d’un superbe sourire en se relevant, elle retire le concombre dégoulinant et s’approche de la caméra :

« Désolé mon chéri, je dois te laisser quelques instants pour trancher ce concombre et finir la salade. J’espère que le menu est à ton goût ! »

Et comment, je suis en train de me branler. La projection s’arrête quelques secondes avant de reprendre à nouveau, toujours avec vue sur le lit conjugal, mais d’une position légèrement plus élevée cette fois avec un angle élargi.

« Voilà ! La salade est prête ! Ouh là là, il me reste peu de temps pour la vinaigrette, le beurre blanc et le dessert ! Je vais devoir faire plus vite que prévu », dit-elle d’un air coquin faussement embêté. Elle reprend, à genoux sur le lit après avoir retiré sa petite culotte ;

« Mon amour, ce soir tu vas m’offrir des fleurs comme les années passées alors que moi je t’offre un beau cadeau à chaque fois. Cette année, tu as pu le remarquer, je ne t’ai rien offert et ton cadeau c’est cette cassette que tu découvres maintenant. Mon cadeau, je suis désolée, je l’ai eu avant que tu reviennes et je vais en profiter maintenant. »

Elle quitte la caméra des yeux et se tourne sur la droite vers quelque chose hors champ en tendant la main. Je vois apparaître sur l’écran un noir, nu et bien musclé, tenant en main un sexe de très belle dimension en érection. J’ai le cœur qui palpite subitement. Ma femme va faire l’amour avec un autre homme sous mes yeux.

Effectivement, l’homme se rapproche jusqu’au bord du lit et reste debout devant mon épouse. Elle se penche en avant et prend son sexe en main. La position de la caméra permet de tout voir de profil et de ne pas en rater une miette. Camille branle doucement cette verge tout en me regardant avec des sourires en coin. Puis elle effectue quelques bisous sur la hampe, les couilles et enfin sur le gland. Enfin, elle se tourne vers la caméra et glisse un « merci du cadeau » avant de fermer les yeux et d’avaler entièrement cette verge.

Elle s’active doucement au début, le faisant coulisser dans sa bouche et titillant le gland de sa langue puis elle entame un va et viens rapide de la tête tout en branlant la verge d’une main.

L’homme n’est pas long à jouir dans sa bouche et au regard de Camille, je comprends qu’elle reçoit une très grosse quantité de sperme. Elle quitte précipitamment la verge et saisit un bol sur la table de nuit dans lequel elle recrache tout le sperme qu’elle a pu garder en bouche. L’homme s’écarte légèrement quand elle vient au-devant de la caméra présenter son trophée ;

« Mon amour », dit-elle avec un sourire ravi, « tu crois que ça suffira pour la vinaigrette ? Sans doute oui ! Mais ce n’est pas assez pour la fin du repas ! »

Bon sang ! Elle m’a fait bouffer le sperme de ce gars dans la vinaigrette ! Pas étonnant qu’elle ne m’ait pas fait de scène de ménage puisque cette cassette est en fait sa vengeance. Je n’ai pas le temps de continuer à ruminer puisqu’elle reprend :

« Je me doutais un peu que ça serait juste et, en plus, j’ai envie de le sentir en moi, me prendre et jouir en moi. Alors, j’espère que tu ne m’en veux pas, mais j’ai demandé à Patrick de venir avec quelques-uns de ses amis. » Elle se tourne de côté et dit : « Entrez ! Entrez ! Je vais vous présenter. » Un à un, elle me présente ses futurs amants du jour. Ils sont six au total, Patrick compris, tout nu et super membré. Je reste interdit, sans expression, mais qu’est-ce que je bande. Camille, au centre du lit, dit alors :

« Mon bébé préféré, je te promets que chacun d’entre eux te réserve son premier jet. Vous n’avez pas envie de gâcher mon repas de ce soir ? » leur dit-elle. Et eux, ils rigolent comme des salauds. « Bon ! Ce n’est pas que je sois, comment le dire ? Une salope, une nympho ? Non ! En fait, je suis très excitée, tu t’en doutes, et assez envieuse de ce qui va venir. Alors, excuse-moi, mon amour, je ne vais pas faire attendre ces messieurs, d’ailleurs on n’a qu’une heure et quinze minutes devant nous. Je t’embrasse. Je t’aime. À tout à l’heure. »

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Inaya

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