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Le chantier

J’ai livré ma femme en pâture aux ouvriers.

Le Chantier

Est-ce qu’on doit me considérer comme un pervers ? Je ne sais pas… je ne crois pas même si certains à la lecture de ces lignes n’ont aucune difficulté à me classifier dedans. Moi je me considère juste comme quelqu’un qui aime le sexe, sous toutes ses formes… Et comme la nature m’a bien doté, j’aimerais en profiter un peu plus.

Malheureusement, mon épouse ne partage pas mon goût pour ces choses-là. Tant s’en faut. Et c’est vraiment dommage. Une petite présentation s’impose. Je m’appelle Louis, 35 ans, je suis cadre, grand (1,85 m), plutôt baraqué, avec un sexe de dimensions tout à fait honorables (bien plus gros que ce qui est annoncé comme la moyenne nationale en tout cas). Ma femme, c’est Marie. Elle est un peu plus jeune que moi très jolie petite (1,61 m) brune aux yeux noisette, pulpeux avec sa poitrine qui affiche un beau 90 C, aux larges auréoles et ses hanches larges. Pour terminer sa description, il faut ajouter que son sexe est entièrement rasé. Mon salaire étant suffisant pour vivre, elle pouvait se permettre de rester à la maison sans travailler.

Depuis longtemps, je nourrissais le fantasme de la voir livrée à d’autres hommes. Livré est le mot juste, car je voulais qu’ils lui fassent subir tout ce qu’elle me refusait au lit, la sodomie, l’éjaculation buccale par exemple. J’aurais aimé depuis longtemps que l’on puisse aller en club, mais je n’osais même pas lui en parler, certain qu’elle me prendrait à ce moment-là pour le dernier des pervers (on y revient). Mais ce fantasme ne me quittait pas, d’autant que j’étais persuadé que si elle se forçait un peu au début, elle y trouverait du plaisir par la suite. Toutefois, je ne trouvais pas la possibilité de lui faire franchir le pas.

Nous habitons une belle maison de la campagne lyonnaise, et grâce à une prime de résultat que j’ai touché, nous envisagions de réaliser des travaux d’aménagement dans une petite dépendance que nous avions. Les murs paraissant sains, nous voulions l’aménager en un petit studio pour pouvoir y loger de la famille de passage. Je pris donc rendez-vous avec une petite entreprise générale qui pouvait se charger de l’ensemble des travaux. Son devis rentrant dans notre budget, je décidais de ne pas en consulter d’autres, et les travaux devaient débuter deux semaines plus tard.

Travaillant toute la journée dans Lyon, c’est ma femme qui devait « surveiller » les travaux. Enfin, surveiller… s’assurer plutôt que les ouvriers étaient bien là et éventuellement les servir en café… C’est moi qui faisais le tour du chantier le soir en rentrant. Les premiers jours, les ouvriers s’évertuèrent à enlever le mauvais crépi qui recouvrait les murs et il n’y avait pas de problème particulier. Ils étaient au nombre de 4. Le patron, un portugais d’environ cinquante ans, petit, poilu, avec une grosse bedaine et des bras comme des troncs d’arbre ; son second, qui semblait être son fils, plus grand, mais déjà gras, et deux ouvriers, un Turc petit et sec, et un grand noir qui servait surtout de manœuvre pour les tâches nécessitant le plus de force physique.

Le quatrième jour, je fus surpris en arrivant de voir qu’il y avait encore le camion des ouvriers. Le patron était assis à la table de notre cuisine, un café devant lui, alors que ses ouvriers fumaient une cigarette dehors.

J’ai une mauvaise nouvelle, déclara-t-il tout de go en m’apercevant. Venez voir avec moi la dépendance. Je le suivais, alors que ma femme restait dans la cuisine. Il me montra alors une énorme fissure qu’ils avaient mise à nue en enlevant le crépi. Cette fissure partait du sol et s’élargissait pour monter jusqu’au toit. Il m’expliqua alors que celle-ci, si l’on ne faisait rien, allait encore s’agrandir, et que la bâtisse entière risquait de s’effondrer. Il fallait non seulement la combler, mais surtout la fortifier. Je lui demandais s’il avait une idée du prix, et l’estimatif qu’il me donna augmentait le budget de 50 %. Et nous n’avions pas l’argent pour ça ! Je lui demandais si c’était possible de nous faire un rabais. D’un œil torve, il me rétorqua que le montant annoncé était déjà son meilleur prix, et qu’il ne pourrait pas le baisser. Mais qu’en revanche, on pourrait s’arranger autrement pour la moitié de la somme.

Ne comprenant pas où il voulait en venir, je lui demandais de s’expliquer. Avec un sourire en coin, il me dit :

– Votre épouse est bien jolie, avec votre accord bien sûr, si elle voulait être gentille avec mes gars et moi, on pourrait baisser le prix de la réparation

interloqué par cette demande, alors que j’aurais dû m’offusquer immédiatement, je mis un temps à répondre :

– Elle ne voudra jamais, elle est très prude !

– Bon, je vois que le problème ce n’est pas vous, puisque vous ne m’avez pas sauté dessus. Si vous voulez bien, on fait un deal. Vous m’autorisez à essayer avec votre femme, sans violence physique bien sûr, et si je n’y arrive pas, vous avez quand même la réduction

connaissant mon épouse, je n’avais rien à perdre, et quand bien même elle accepterait… et bien cela ne me déplairait pas outre mesure de la voir aux prises avec ces ouvriers. Toutefois, si ça devait arriver, je voulais pouvoir y assister.

– OK pour cette entente, mais je veux pouvoir assister !

– Pas de problème, vous n’aurez qu’à vous cacher derrière le mur après-demain matin et regarder.

L’affaire conclue, il retrouva ses ouvriers et s’en alla. Je rentrais pour ma part chez moi et expliquais à ma femme le surcoût des travaux, mais que j’avais réussi à négocier une remise de 50 % ! Elle me félicita chaudement. Si seulement elle savait qu’elle était l’enjeu de la remise…

Le jour attendu, je fis semblant de dire au revoir à mon épouse, mais au lieu de partir je me garais un peu plus loin et, revenant sur mes pas, allais me positionner derrière le mur, où, la fissure aidant, j’avais une belle vue sur l’intérieur de la bâtisse.

Peu de temps après, j’entendis le bruit du camion des ouvriers qui s’approchait. Malgré moi, ce simple bruit augmenta mon excitation… Mais j’étais bien curieux de voir comment ils comptaient s’y prendre pour séduire ma femme. Ils ne la connaissaient vraiment pas et ils allaient se casser les dents dessus.

Les hommes déchargèrent leur matériel comme d’habitude et commencèrent à travailler. Quelques minutes plus tard, Marie vint leur dire bonjour et leur demanda s’ils voulaient un café. En ce jour de juin, elle portait une petite robe bleue, très sagement boutonnée sur le devant. J’ai remarqué que parfois, quand elle portait cette robe, elle déboutonnait un ou deux boutons au décolleté et aussi un bouton en bas. Mais ce jour, tous les boutons étaient fermement attachés. Le patron lui rétorqua que c’était aujourd’hui son anniversaire et qu’il avait amené une bouteille de Porto. Qu’il fallait à tout prix qu’elle trinque avec eux, parce que sinon, dans les coutumes portugaises, c’était considéré comme un affront.

Ma femme, ne voulant surtout pas vexer le patron qui nous avait fait une si belle réduction, accepta et leur dit qu’elle allait chercher des verres. Le Patron lui répondit qu’il avait amené des petits verres en plastique et que ce n’était pas la peine de salir. Il ordonna à son fils de montrer le chantier à Marie pendant qu’il servait les verres. Il servit une grande rasade à chacun, en prenant bien soin de mettre le verre de ma femme à part. Il lui tendit en disant honneur aux dames. Puis ils trinquèrent tous à l’anniversaire du patron et, tout en disant cul sec, basculèrent leur verre. Ma femme qui déjà n’avait pas l’habitude de boire manqua s’étouffer, mais fini tout de même son verre.

Le patron lui dit qu’il allait finir de lui faire faire le tour du chantier pendant que ses ouvriers se remettaient à la tâche. Il commença par lui montrer ce qui avait déjà été fait, puis il s’attarda avec force détails sur ce qu’il restait à faire, avant de s’approcher, à ma grande crainte, de la fissure par laquelle je les observais. Si le patron me fit un clin d’œil, Marie ne sembla pas me voir. Il faut dire qu’elle avait une démarche un peu hésitante et un regard flou. Elle trébucha même et le patron la soutint, passant son énorme bras sous son aisselle :

– Oh attention ma petite dame, vous avez failli tomber

– Mmm

– Vous allez bien ?

– O… oui

– Faut dire qu’il fait sacrément chaud, vous devriez déboutonner un peu cette robe

– Mmm

Ma femme avait l’air vraiment dans les vaps, ne répondant que par onomatopées. Le patron avait toujours son bras passé sous celui de Marie, son énorme paluche posée sur son ventre.

– Je vais vous mettre à l’aise. Je vais défaire un bouton de votre robe. Vous êtes d’accord ?

– O… oui

Je n’en revenais pas, Marie venait d’accepter que ce type qu’elle trouve certainement dégoûtant lui défasse lui-même un bouton de sa robe. Il faut dire qu’accepter est un bien grand mot. Elle était dans un état second, ayant toujours du mal à rester debout sur ses chaussures d’été à talon compensé.

Par la fissure, je vis l’homme diriger sa main vers la boutonnière. Il défit le bouton le plus haut, mais ne s’arrêta pas là, le deuxième et le troisième suivirent le même chemin. Marie avait maintenant la robe ouverte jusqu’au nombril, c’est alors que je m’aperçus qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge, comme cela lui arrive somme toute assez souvent l’été. Mais là, c’était clairement indécent. Ses seins apparaissaient très distinctement, jusqu’à ses larges auréoles brunes et les tétons qui s’érigeaient au contact du tissu. Ma femme était toujours amorphe, comme étrangère à elle-même, inconsciente de son exposition indécente.

– Voilà, vous êtes plus à l’aise maintenant ma petite dame, n’est-ce pas ?

– O… oui

– Mais cette robe est encore trop chaude, il faut déboutonner le bas pour vous aérer, sinon vous risquez de faire un malaise. Voulez-vous que je le fasse ?

– …

– Qui ne dit mot consent ! Je m’en voudrais que vous fassiez un malaise à cause de ma négligence.

Joignant le geste à la parole, il défit deux boutons du bas, ne laissant la robe tenir que par un seul, situé au niveau du nombril. Celle-ci s’ouvrit amplement, dévoilant la culotte blanche de ma chère et tendre.

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