— Bien mon papa, je te présente Lucas. Tu es content ?
Je hoche la tête, oui je suis content ?
— Et toi Lucas, il te plaît ?
Pas de réponse, pas de respiration.
— Oui, oui, je vois qu’il te plaît bien. D’ailleurs tu vas nous montrer cela tout à l’heure hein mon toutou ?
Putain, il est grave le Sébastien où alors c’est un gosse le Lucas ?
— Voilà papa, reprend Sébastien. Mathilde nous a dit que tu avais certains désirs particuliers. Alors ! Ce n’est pas tout de fantasmer, il va falloir l’exécuter. Sans rien dire sinon, je te cravache, ensuite je te découpe les fesses en rondelles, je vais enlever ton bâillon. Mais rassure-toi, je te le remettrai tout à l’heure, tu vas bien sagement exécuter mes ordres. Tu sens ce que j’ai à la main ?
Je fais signe que oui.
Le bâillon tombe, puis le bandeau. Je cligne des yeux, je dois avoir l’air fin, en sueur, le cul rouge, les fesses a l’air, avec une tête d’abruti à cause de la lumière brutale qui agresse mes yeux, ça fait une bonne heure et demie que je suis aveuglé par ce satané bandeau. Imaginez la scène, debout, devant le canapé, la queue à l’air, nu de la ceinture aux pieds.
Sur le canapé, me faisant face et souriant, trois personnes : Sébastien, Emeline, et aussi Mathilde.
— Eh oui ! Mathilde est là depuis le début. Elle est revenue avec Emeline, d’ailleurs elle en a profité pour te tanner le cul, tu n’as pas senti ? Clame Sébastien.
C’est vrai, à un moment j’ai bien cru deviner une autre présence ?
Ma tête d’ahuri doit beaucoup les amuser, ils sont morts de rire. Un grognement sur ma droite et alors, je vois, assis le cul par terre près de la porte de la salle à manger, un superbe chien. Un Danois, les oreilles bien dressées, il me fixe d’un air intéressé. Sébastien prend la parole.
— Je te présente Lucas ! Vous allez faire connaissance tous les deux, tu vas voir. Tu voulais connaître ? Voilà, tu y es, alors maintenant, au boulot. Vient, Lucas, vient mon toutou !
Le chien se lève, s’approche, je commence à comprendre la fameuse respiration forte. Lucas s’approche de son maître, il pose ses deux pattes avant sur ses genoux.
— Allez, viens ? On va voir qui est la salope, qui est la chienne. Viens et suce, suce le bien, car après, figure-toi qu’il va te défoncer le cul. Tu verras ça change d’une queue de mec, c’est pas mal du tout, en plus il est au moins aussi long et gros que Sébastien. Le passage est fait, il va te ramoner le cul. Comme la petite chienne en chaleur que tu es. Tu réalises ? Il va te saillir, tu vas devenir sa nouvelle petite femelle. Claironne, Emeline.
Elle éclate de rire tout en défaisant la ceinture qui maintient mes menottes contre mon ventre. Mes mains sont toujours attachées devant moi, enfin je peux les bouger. Là, je dois dire que je ne suis pas très fier. Je lance un regard suppliant à Mathilde, elle secoue la tête en me fixant dans les yeux.
— Non Arnaud, tu assumes ! Quand je t’ai raconté comment qu’Emeline et moi, nous nous sommes fait saillir par un chien et que malgré tout, nous avons aimé. Tu souhaitais te faire prendre par un chien. Voilà ! Tu y es. Tu t’exécutes. De toute façon, Sébastien te cravache si nécessaire. De plus, regarde, on est sympa ? Il a les quatre pattes protégées par des chaussettes, tu n’auras même pas de marque de griffes ! Alors heureux ?
Très drôle en effet, ils ont entouré les pattes du chien avec des chaussettes et ligaturé le tout avec du sparadrap. C’est pour cela que je n’entendais que la respiration sans rien d’autre. Ils m’ont bien eu.
— Allez ! À la saillie, chienne !
Une brusque poussée, je me retrouve à genoux près du chien, toujours les pattes avant posées sur les cuisses de son maître qui lui gratte doucement les oreilles.
— Allez ! Papa suce le !
Cette fois, j’y suis, je ne le désire pas ? Je n’avais qu’à fermer ma gueule, il faut assumer. Je me penche, approche ma bouche. Ça sent fort, un peu le fauve, un peu le chien mouillé. Vlan ! Vlan ! Deux coups de cravache me cinglent les fesses.
— Ça vient oui ?
Alors j’y vais, je sors la langue, je commence à lécher l’étui pénien du chien, c’est de la fourrure. Soudain, un petit bout rose commence à dépasser, je lèche toujours, mon dieu, ça grossit terriblement ! Vlan !
— Tu vas te décider à le sucer oui ou non ?
Question appuyée par un deuxième puis un troisième coup de cravache bien appliqué en travers de mes pauvres fesses déjà bien rouges. J’y vais ! Je respire à fond, après je plonge, je le prends dans ma bouche. C’est doux, pas trop âcre, frais même ?
Je lèche en m’aidant de mes mains toujours menottées devant moi, j’empoigne la verge, je commence à engloutir le gros bout rose et noir. J’ai une sensation de chaleur intense dans la bouche, une espèce de saucisse boursouflée et souple. La queue continue à sortir de son fourreau. Alors, je me retrouve en train de sucer un mandrin qui doit bien faire dans les vingt-trois à vingt-cinq centimètres sur environ six centimètres de diamètre.
Finalement, c’est bon, pas du tout comme une queue de mec, c’est agréable, très ferme et doux à la fois, raide et souple tout de même. On sent que c’est un animal, j’avoue que je pensais que ce serait plus âcre et fort.
Le chien a l’air d’aimer, car il gémit de plaisir, son fouet bat dans tous les sens. Je commence à y prendre plaisir. Pas un mot dans la pièce, tout le monde me regarde, je me sens avili, humilié et en même temps terriblement excité, surtout fier d’avoir eu le courage de faire cela.
Tout d’un coup, tout en continuant à sucer Lucas, je sens un petit peu de liquide séminal qu’il évacue de sa bite, je ne peux m’empêcher de me reculer. Beurk. Vlan ! Vlan ! Deux coups de cravache, puis la voix de Sébastien.
— Bon, pour une première fois, on ne va pas te forcer à le boire. Mais la prochaine fois ?
La menace est claire.
— Allez, à quatre pattes maintenant ! Non, ce n’est pas à Lucas que je m’adresse, c’est à toi papa. Il va te saillir, je te l’avais promis.
— Mais, il va me défoncer, il est bien trop gros ! dis-je pour essayer de l’amadouer.
— Parfait, tu l’auras voulu ! Emeline, les culottes !
Quelques secondes plus tard, je me retrouve avec la culotte d’Emeline ainsi que mon propre slip enfoncé au fond de la gorge, le tout retenu par un autre foulard. D’une poussée dure, je me retrouve à genoux au bout du canapé ; Mathilde se saisit de mes bras, elle les tire en avant, Emeline s’assoit carrément sur mon dos. Je suis allongé, le buste sur le canapé, en long, les jambes largement écartées par le bâton, le cul bien exposé.
Sébastien alors enduit copieusement mon anus de lubrifiant, il masse bien, tourne, fait pénétrer un, deux puis trois doigts à l’intérieur. Il me graisse comme on graisse une chatte avant de la perforer.
— Attends mon chien, attends je vais te l’ouvrir ta petite femelle.
Je le sens s’installer derrière moi et d’un seul coup, il me rentre sa bite jusqu’aux couilles. Je les sens qui tapent contre mon cul en feu.
— Voilà mon Lucas, il est tout ouvert, tout prêt pour toi. Regardez les filles comme elle est bien ouverte la chienne de notre amant Lucas !
Mathilde et Emeline se branlent sans se cacher, je sens leurs mouvements, elles gémissent les salopes, ça les excite. Je sens la truffe froide et humide de Lucas qui renifle mon trou du cul, il est largement ouvert et il palpite. D’appréhension ou d’impatience ? Je ne sais pas.
Sébastien prend alors la bite de Lucas à pleine main, il la positionne sur mon cul, les pattes du chien sont sur mon dos, tenu fermement par Emeline. Je sens la queue qui cherche, elle entre.
Mathilde encourage le chien à me baiser. Il veut satisfaire son maître et remue de plus en plus. Il me pompe le cul pendant un moment jusqu’à ce qu’il s’arrête. Un soulagement de courte durée. Il vient de se nouer à mon cul de chienne.
Mathilde a compris que nous ne pouvons plus nous dégager l’un de l’autre, elle vient se mettre face à moi pour me donner sa chatte à lécher. Je me fais défoncer le cul par un énorme chien pendant, qu’elle colle sa vulve odorante sur mon visage. Honnêtement, c’est très bon ! Je ne sais pas comment elle fait, elle réussit à se faufiler sous moi en position soixante-neuf. Je lui lèche la chatte pendant qu’elle me suce enfin la bite durant que Lucas me défonce le cul.
Voilà comment se passe le final de cette position. Lucas jouit le premier dans mon cul. Mon érection est de plus en plus forte surtout qu’elle est stimulée par la bouche experte de ma femme. Je lui aspire le fond de la vulve pour étouffer mes cris de jouissance. Je la fais jouir et je jouis en même temps. Je décharge dans sa bouche et elle avale le tout. En attendant que le nœud de la verge de Lucas se dégonfle pour nous libérer, je dois aussi faire jouir Emeline avec ma bouche. Une fois qu’elles ont bien joui, c’est autour de Sébastien de jouir dans ma gorge. Après tout ça, Lucas se retire après que le nœud se soit défait. Le sperme coule de mon cul dans les cheveux de ma femme.
Mathilde se relève, elle tamponne ses lèvres, elle me roule une pelle, nos langues encore imprégnées de sperme se mélangent. Elle me dit qu’elle est ravie, car elle vient de trouver une nouvelle façon de nous faire jouir.
— Petit veinard ! Tu vois, toi qui souhaitais savoir ce que c’est que de prendre du sperme plein le cul sans préservatif, maintenant, tu sais. Bien sûr, au départ, tu parlais du sperme d’un homme, mais bon. C’est pas mal aussi le sperme de chien hein ? Clame alors Sébastien.
Je suis moi aussi content de ce qui vient de se passer. Puis mon cœur s’est arrêté de battre lorsqu’il me dit, qu’ils vont maintenant me présenter officiellement à leurs amis qui ont de gros chiens prêts à être satisfaits par mon petit cul.
Sans que je le sache, le trio fait partie d’un groupe de zoophiles. Je vais devenir la vide couilles de mon fils et son chien aussi de ceux de ses amis.
Ça y est, je l’ai fait, j’ai sucé un chien, aussi je me suis fait enculer par lui. J’ai honte ! En réalité, j’ai adoré ça. Je suis une vraie salope, une vraie chienne. C’est exact, cette fois-ci, je le revendique.
Bien sûr, les hommes qui lisent mon récit sont outrés ! Je leur rappelle que de ce côté-là, les hommes et les femmes sont identiques, avec aussi, pour certain ou certaine, du plaisir à se faire sodomiser. La plupart des hommes souhaitent sodomiser la femme, il y arrive en utilisant des stratagèmes verbaux ou autres, en promettant à la femme du plaisir dans cette pratique, hors ils ne désirent surtout pas, avoir ce dit plaisir dans leur anus.

