Le grand s’approcha d’elle.
— Je vais te faire le cul sans te toucher autrement qu’avec ma bite, tu vas aimer ça.
Il pose son gland contre ses sphincters contractés. Mathilde marmonne des nons, non, s’il vous plaît, mais ça ne risque pas d’attendrir ses bourreaux. Le grand laisse de longues secondes son sexe en position, il fait monter l’appréhension dans le cerveau embrumé de Mathilde.
— Écarte-moi ça un peu mieux.
Au moment où elle écarte encore un peu plus ses magnifiques lobes fessiers, il l’encule d’un brutal coup de reins, s’enfonçant d’un seul coup au plus profond de ses entrailles lubrifiées par le sperme du tatoué.
Mathilde crie de douleur, elle se cambre sur la table en relâchant ses fesses. Le grand, fiché dans son cul, lui envoie une claque sonore sur les fesses, en rugissant.
— Écarte tes fesses, où je te chauffe tellement le cul que tu ne pourras plus t’asseoir pendant dix jours !
Mortifié, Mathilde rabat à nouveau les bras le long de son corps pour écarter ses fesses, le grand se met à la sodomiser à grands coups de reins, il l’écrase sur la table à chaque fois, il laboure ses tendres parois anales, il lui arrache à chaque poussée des cris de souffrance.
— C’est vrai que t’es sacrément étroite, on dirait une pucelle de 15 ans ?
Et il continue de lui ramoner le rectum sans douceur, pendant qu’elle doit maintenir ses fesses écartées pour éviter les coups, facilitant ainsi bien malgré elle les pénétrations au plus profond de son dos ! Les deux autres matent sans vergogne la sodomie, rajoutent des plaisanteries grivoises qui humilient encore plus Mathilde.
— Vas-y, éclate-lui la rondelle, elle va finir par aimer ça ?
— Si tu élargis bien le passage, on pourra essayer des trucs ?
— On va te remplir tellement le cul de sperme que ça va te sortir par la bouche !
Pendant ce temps, le grand continue sa sodomie brutale, avec des haans à chaque pénétration.
— T’es vraiment une des meilleures bourgeoises que j’ai baisées, il va falloir que tu nous donnes ton adresse pour qu’on vienne te faire des visites de temps en temps !
Mathilde sanglote de rage et de honte sous les coups brutaux du grand, ses seins nus frottent contre la table de pierre brute à chaque poussée, ça les irrite terriblement.
— Écarte encore plus, que je vienne te titiller les amygdales, s’esclaffe le grand, tout en lui claquant violemment la fesse droite, il fait crier Mathilde de douleur.
Il accélère soudainement le rythme de sa sodomie. Elle couine, écrasé sur la pierre froide par chaque coup de butoir, elle finit par relâcher ses fesses pour essayer de se retenir sur la table et protéger ses seins meurtris par les frottements, pendant que le grand l’encule de plus en plus vite.
À force de ramonage, ses muqueuses anales semblent anesthésiées, des sensations équivoques commencent à envahir les reins de Mathilde, où se mêlent souffrance et plaisir ? Elle gémit à chaque pénétration, elle ne sait plus elle-même si c’est seulement de la douleur ou ?
En essayant de protéger ses tétons râpés, elle doit se cambrer, ce qui resserre le fourreau de son ventre sur le sexe qui la laboure, augmentant la pression sur ses muqueuses sensibles.
Soudainement, le grand lui saisit les seins à pleines mains, d’une ultime poussée, il décharge son jus au plus profond de ses entrailles, dans un rugissement de plaisir.
Le contact de ses mains chaudes sur ses seins sensibilisés, après la pierre froide et le déferlement simultané de liquide séminal dans son intestin, est la sensation de trop pour les sens de Mathilde. Elle pousse un long feulement signe d’un orgasme incontrôlé, elle jouit par le cul pour la deuxième fois de la soirée. Elle s’écroule à nouveau exténuée, sur la table froide, pendant que le grand se retire de son cul avec un ploc peu ragoûtant.
— Putain, quel cul de malade ? Tu as raison, Pierre ! En plus, elle finit par jouir comme une folle. Je suis sûr qu’elle n’a jamais eu d’orgasme comme ça de toute sa vie !
Ils se tapent dans les mains, réjouies du bon coup qu’ils ont trouvé.
— En tout cas, elle aime être dominée, renchérit le barbu, ça, c’est mon rayon ?
Ses deux compagnons s’esclaffent. Le barbu retire son ceinturon, ainsi sans prévenir, cingle les fesses offertes de Mathilde. Celle-ci hurle de douleur, soudainement tirée de sa torpeur, elle se redresse face à son bourreau.
— Pitié, arrête de me frapper !
— Alors, viens te mettre à genoux devant moi, lèche mes bottes !
Mathilde, désemparée par cet ordre abject, essaye soudainement de fuir, détalant aussi vite qu’elle le peut dans le jardin ?
Les loubars éclatent de rire de la voir courir nue en talons dans la pelouse, ils ne semblent pas la poursuivre. Elle croit un instant pouvoir leur échapper. Elle entre dans la maison par la porte-fenêtre, traverse le salon le plus vite qu’elle peut, son fondement défoncé la met à la torture. Elle atteint la porte d’entrée qu’elle met quelques secondes à ouvrir, car elle est fermée à clef, elle bondit dehors !
Mais le grand a fait le tour de la maison plus vite qu’elle, il lui fit un croc-en-jambe dans le noir au moment où elle sort de la maison. La Mathilde s’étale de tout son long dans l’allée, sous les rires du mec. Elle veut se relever, mais il l’attrape vivement par la chevelure, il la traîne dans la maison malgré ses cris de douleur. Arrivant tranquillement par la porte-fenêtre, le barbu et le tatoué discutent tranquillement.
— Bascule-moi cette salope sur le canapé, qu’elle ait sa punition !
Le grand relève Mathilde sans ménagement, il la plie en deux sur le dossier du canapé, il lui plaque le visage dans les coussins. Son cul se trouve exposé en bonne position, tandis qu’elle essaye de se libérer en battant des jambes désespérément.
— Je crois que mon copain t’a dit que c’est ta dernière désobéissance, je suis obligé de te punir.
Il lui envoie un nouveau coup de ceinturon sur les fesses. Elle hurle dans les coussins, elle gesticule pour échapper à cette souffrance atroce, son cul se pare d’une marque violacée, presque noire tellement le coup a été violent.
— Pour cette fois, ce sera seulement trois coups !
Il lui cingle à nouveau les fesses, lui arrachant un nouveau cri de douleur, elle n’avait jamais ressenti de souffrance aussi vive. Avant qu’elle ne reprenne son souffle, il envoie un terrible troisième coup de ceinture, Mathilde croit qu’elle va défaillir. La douleur est si vive qu’aucun son ne franchit ses lèvres. Le grand relâche sa tête, mais elle est trop en état de choc pour faire quoi que ce soit.
— Maintenant, viens te mettre à genoux et lèche mes bottes.
Elle sanglote de douleur, elle met du temps pour se dégager de sa position inconfortable et descendre du canapé.
— Un peu plus vite, sinon ?
Terrorisée, elle se jette à genoux, elle s’approche du barbu, se penche vers ses bottes. Elle a cependant un temps d’arrêt, réalisant ce qu’elle va devoir faire.
— Lèche, maintenant ! ordonna-t-il !
Soumise, elle se met à lui lécher les bottes, dans une posture terriblement humiliante. Le barbu laisse passer de longues secondes, puis ordonne à nouveau.
— Maintenant, redresse-toi, sors ma bite et suce-moi !
La Mathilde, complètement dominée, obéit dans un état second, elle se redresse pour dégrafer le pantalon du barbu. Fait glisser le Benoit, elle entraîne par la même occasion le caleçon douteux du barbu, ce qui fait jaillir son sexe. Elle n’a jamais vu un sexe aussi gros ?
Il n’est pas encore complètement bandé. La bite du barbu fait bien vingt-six centimètres de long et surtout elle est d’un diamètre colossal, peut-être sept où huit centimètres ? Elle reste interdite, contemple le monstre poilu qu’elle va devoir prendre dans sa bouche. Une gifle violente la ramène à la réalité.
— C’est pour aujourd’hui ou pour demain ? Suce ma queue et fais ça bien !
Mortifiée, elle prend le sexe dans sa main. Elle ne peut même pas en faire le tour avec ses doigts, elle l’approche de ses lèvres. L’odeur est épouvantable, cependant elle aurait fait n’importe quoi pour éviter d’être à nouveau frappée, elle ouvre la bouche pour gober le gland.
L’engin est si énorme qu’elle doit distendre ses mâchoires pour réussir à le prendre en bouche, elle commence à essayer de le sucer, mais elle ne peut en prendre qu’une petite partie avant d’être incommodée !
— Redresse-toi pour me sucer, qu’on voit bien ton cul !
Mathilde se relève tant bien que mal, elle se trouve maintenant pliée en deux pour le sucer ? Cette nouvelle position a l’avantage qu’elle est plus à l’aise pour le prendre en bouche, mais son cul se trouve particulièrement exposé. Le tatoué en profite pour venir lui caresser le fessier, il lui doigte la chatte, pendant que le grand est en train de picoler au bar.
— Prends-la plus profond, salope ! Éructe le barbu, en lui appuyant sèchement sur la tête.
Elle fait ce qu’elle peut, mais le gland disproportionné vient buter au fond de sa gorge, ça lui provoque des haut-le-cœur. Elle essaye d’emboucher ce sexe énorme sans succès, elle sent bien que ça ne va pas plaire au barbu. Elle a déjà les larmes aux yeux à cause de ses tentatives !
Le barbu lui attrape les poignets, il lui retourne les bras dans le dos et les saisit d’une seule main. Elle est complètement sans défense, de l’autre main, il lui attrape la chevelure, il amplifie lui-même les va-et-vient de la bouche de Mathilde sur son sexe. Elle ne peut plus se débattre, elle doit essayer d’accompagner au mieux les mouvements, elle refuse toujours que ce sexe immonde franchisse la barrière de sa gorge.
Concentré sur la fellation, elle ne sent pas arriver le tatoué, celui-ci lui défonce la chatte d’une poussée brutale, il s’enfonce de toute sa longueur dans son puits d’amour. De surprise, elle tente de crier, mais le barbu, qui n’attend que cela, met à profit son cri muet pour forcer sa gorge. Son sexe entier disparaît dans la bouche de la pauvre Mathilde, il distend sa gorge et bloque complètement sa respiration.
Le barbu rugit de plaisir. Elle est en état de choc, le nez dans les poils pubiens du barbu, la gorge torturée par le sexe qui l’encombre, incapable de respirer à nouveau. Ses jambes l’abandonnent, cependant le tatoué lui maintient fermement les hanches pendant qu’il la baise, ce qui l’empêche de s’effondrer sur le sol.

