Elle commence à défaillir par manque d’air et à cause de la souffrance, son corps est pris de tremblements. Un voile noir lui obscurcit sa vue quand le barbu retire finalement son sexe de sa gorge. Toujours maintenue par les cheveux, les poignets et les hanches, elle vomit ce qui restait dans son estomac par terre, tout en aspirant goulûment une bouffée d’air, elle crache et tousse tout ce qu’elle pouvait.
— Tu vois que tu peux tout prendre si l’on t’aide un peu.
Il fourre à nouveau son sexe dans sa bouche, directement au fond de sa gorge. La deuxième fois est un peu moins douloureuse, mais c’est toujours un cauchemar, le barbu se met à aller et venir au plus profond de sa gorge. Elle est en larmes, secouée de spasmes à chaque fois que le gland franchit la barrière de sa luette, en panique pour essayer de respirer à chaque fois qu’il se retire un peu. Le tatoué finit par éjaculer dans sa chatte, elle ne s’en rend même pas compte tellement sa gorge la fait souffrir.
Du coup, elle ne voit pas non plus le grand revenir derrière elle, une bouteille de bière de soixante-quinze centilitres à la main. L’ayant décapsulée et la maintenant fermée d’un pouce, il se met à la secouer énergiquement, attendant le signal du barbu. Celui-ci sent arriver la vague de sperme dans ses couilles, quelques secondes avant de jouir, il hurle.
— Maintenant !
Le grand plante le goulot de la bouteille sous pression dans la vulve humide de Mathilde. Un geyser de bière sous pression lui inonde le vagin, ça lui procure des sensations inouïes qui lui déclenchent un orgasme monumental.
Elle écarquille les yeux de surprise et de jouissance, râlant silencieusement son plaisir, au moment même où le barbu éjacule au plus profond de sa gorge dans un grognement sourd. Elle se met à trembler de tout son corps, le cerveau déconnecté par la jouissance, elle s’écroule au sol quand les deux gars relâchent leur prise. De longues giclées de bière s’échappent de son vagin défoncé, un filet de sperme coule de ses lèvres.
Les trois loubars se congratulent, en se tapant dans les mains.
— Putain, c’est un coup de malade, cette gonzesse. Je me demande ce qu’on peut encore lui faire ?
— T’inquiète pas, on va bien trouver, la nuit est encore longue.
Lui répond le grand. Ils se servent un coup pour reprendre des forces.
Caché sur la mezzanine après en avoir terminé avec le cul délicieux d’Emeline, Sébastien n’a rien raté de la dernière scène, il a tout enregistré sur smart phone. Il se demande ce qui va bien pouvoir sortir de l’imagination de ses sadiques créanciers.
Les deux jeunes femmes ont plus que remboursée la dette de Sébastien tout le restant de la nuit qui a été une orgie d’orgasme pour ses femmes. Les trois loubars ont même fait venir trois collègues pour assouvir leurs perversités. Ils ont même fait saillir les deux femmes par un chien, elles en garderont un souvenir inoubliable.
Au petit matin Sébastien ramène sa belle-mère à l’appartement. Elle est dans un état lamentable, sa bouche, sa chatte et son cul sont enflammés, irritée, d’avoir trop été utilisée. Sa bouche a des relents de sperme, ses autres puits d’amour suintent encore de sperme.
— Voilà ! Ta dette est bien remboursée, mon chéri !
— Hein ? Comment tu sais ? — Le barbu me l’a dit au bar avant d’aller chez Emeline. — Et tu y as quand même été chez Emeline ? — Je l’ai fait pour toi mon chéri, je ne savais pas ce qu’il allait me faire subir, mais je ne regrette pas cette nuit où j’ai joui comme une folle plusieurs fois. Je vais me coucher ? Je suis fatigué ! Mathilde va se coucher nue sous sa robe avec autour du cou un collier à chien avec la laisse qui descend dans son dos sous la robe.
Après la nuit torride chez Emeline, passée avec les trois créanciers de Sébastien, Mathilde est impatiente de retrouver ses trois loubars pervers qui l’ont contacté. Le barbu avait copié son adresse et son numéro de portable, le tout prit dans son sac à main.
À dix heures, je vais rejoindre Alex, il m’attend près de la place du marché comme convenu, je monte dans sa voiture. En guise de bonjour, un long baiser ou nos langues se mêlent.
Je m’attendais à un appartement dans un bon quartier, mais grosse désillusion, on se retrouve dans l’endroit le plus mal famé de la ville.
En arrivant sur le palier, Alex (le barbu) m’ouvre la porte, il me fait signe d’entrer. Trois hommes sont dans le couloir et trois autres dans la pièce juste en face. Dans l’entrée, un des hommes sort déjà sa queue de son pantalon. Il bande déjà et me dit :
— Allez ! viens me sucer salope.
Je me dis que pour être directs ils sont directs, mais je ne viens pas ici pour faire du tricot. Pendant ce temps, un autre m’enlève rapidement mon imper qui dissimule ma jupe courte, mon chemisier en dentelle transparent et mes seins logés dans un soutien-gorge sans balconnets. J’entends les commentaires.
— Oh la belle pute !
— HUMM ! Une bonne salope on va se régaler les mecs !
— Oh la putain ses nichons et son cul moi ça me fait bander direct.
— Une bonne femelle à défoncer !
Le type me penche en avant sur sa queue, je commence à le sucer. Alex est derrière moi, il trousse ma jupe sur mes reins.
— C’est bien salope, tu n’as pas mis de culotte pour être facile à baiser.
Le troisième commence à me fouiller la chatte avec ses doigts. Le type que je suce recule alors doucement vers la pièce d’en face ?
— Marche en suçant ma queue, suce bite !
En arrivant dans le grand salon, les trois autres sont en train de se déshabiller, un dit :
— Écarte tes cuisses putain, je vais la fourrer ta grosse moule.
Il est maintenant derrière moi, il a déjà enfilé une capote. Sans attendre, il me prend d’un coup sec. Celui que je suce se retire laissant ma bouche libre à une autre bite qui vient de suite la remplir. Les insultes pleuvent.
— T’es qu’un sac à bites !
— C’est une traînée !
— Une chienne qui vient se faire saillir !
Ils sont à présent tous nus, j’ai deux bites dans les mains, une en bouche et une qui me baise à grand coup. Les deux autres mettent leurs capotes et viennent me baiser à tour de rôle. Ceux que je branle veulent aussi se faire sucer et me prendre. Ils sont très excités mais je commence à fatiguer un peu penchée en avant comme ça.
Je me redresse et en un rien de temps, ma jupe est à mes pieds, mon chemisier enlevé
Alex me dit :
— Aller ma grosse salope assied toi là dans le canapé et écarte les cuisses, on va tous te défoncer à tour de rôle. Dis-nous que tu es une salope, une pute ? Vas-y, dis-le !
— Oui, je suis une salope de pute.
Je m’installe les cuisses écartées, deux hommes viennent me tenir par les chevilles me relèvent et m’écartent encore plus les cuisses. Je suis grande ouverte devant eux, ils me regardent tous en se branlant devant moi, je commence à vouloir me caresser aussi.
— Tu es venue pour prendre de la bite salope, allez dis-nous que tu veux de la bite.
— Oui, je veux vos bites, baisez-moi tous !
T’inquiètes pas trou à bites, tu vas ramasser ce soir. On va te baiser à la chaîne. Allez ! Je commence la série.
Clame un des mecs en me pénétrant le premier. Il me laboure comme un forcené environ cinq minutes, il se retire et dit :
— Elle est bonne cette pouffiasse au suivant !
Un autre prend sa place immédiatement puis un autre et encore un autre. Moi je mouille de plus en plus, je jouis plusieurs fois de suite en gémissant.
— Elle est bien trempée cette pute !
— Tu jouis salope ?
— OOOUUIIIIII !
— Tu en veux encore grosse pute ?
— OH ! OOUUIIIII ! Encore !
Une fois les six passés dans ma chatte, Alex me dit :
— Allez fous toi à quatre pattes sur le tapis salope, que l’on voit ton cul bien tendu. Écarte le ce cul de chienne écarte le bien, on va te bourrer le cul maintenant !
Je m’exécute en levrette sur le tapis, les épaules sur un cousin, de suite, là je sens une première queue à l’entrée de mon anus. Un gars est accroupi derrière moi, il s’enfonce doucement mais sûrement dans mon cul pour me limer tranquillement, puis de plus en vite. Il commence à râler et brusquement il se retire, enlève sa capote et envoi tout son sperme sur mes fesses et mon dos.
— AAARRR ! T’es qu’une vide couille.
Un autre a déjà prit la place, il ne résiste pas longtemps non plus, il gicle lui dans sa capote.
— Trop bon son pétard à cette salope ! Elle m’a fait cracher.
Un troisième le remplace aussitôt, sa queue est grosse, je la sens bien passer. Il s’enfonce en moi profond, je sens ses couilles battre sur ma chatte. Il me prend cinq bonnes minutes, il finit par retirer sa capote pour jouir sur mes fesses.
Cela fait déjà une heure que je suis arrivée et je vois trois des hommes qui se rhabillent. Ce sont ceux qui doivent rentrer chez eux certainement. Ils me disent :
— La prochaine fois, on aura plus de temps pour te défoncer belle salope.
Puis ils m’embrassent tous les trois avant de partir.
Extraordinairement, Alex sert du champagne et des petits fours. Il décide de faire une pause.
J’en profite pour aller faire pipi, essuyer le foutre qui est sur moi et rajuster mes bas. En revenant, Benoit, Pierre et Gabin se présentent et me disent :
— Alors ça te plaît salope ?
— Oh ! Oui, j’aime bien, vous êtes de bons baiseurs.
— On te l’avait dit, on ne raconte jamais d’histoires !
— Alors, moi je vous plais ?
— OH ! Ouais, tu es super bonne, l’autre du concert, on a adoré avec ta copine. Vous êtes de très bonnes salopes !
— Toi ! Beaux seins, beau cul, t’es vraiment faite pour prendre de la bite toi. Tu te fais souvent baiser comme ça ?
— Ah ? J’ai souvent des propositions de pas mal d’hommes.
— Et avec un groupe de mecs, ça te dit ?
— Oui ! J’aime bien et l’autre nuit, avec le chien, Emeline et moi, nous avons adoré.
— Tu es vraiment qu’une salope qui ne pense qu’à se faire bourrer et d’ailleurs on n’a pas fini de te baiser ma salope !
Alex approche une chaise roulante de bureau ?
— Mets-toi à genoux sur la chaise et tiens-toi aux accoudoirs
Les voilà de nouveau tous les trois à me peloter et claquer mon cul ainsi offert. Pierre enfile vite une capote, il me prend violemment la chatte faisant balancer lourdement mes seins.
Alex, devant moi, tient la chaise, il me fait sucer sa belle queue

