Je suis un homme de trente-six ans, cadre supérieur dans une entreprise d’import-export. Je gagne très bien ma vie, cependant je suis souvent absent plusieurs jours voir une où deux semaines. J’ai un fils de mon premier mariage. Sa mère est décédée dans un accident de voiture, Sébastien avait alors six ans. Ses grands-parents maternels l’ont élevé à cause de mes absences prolongées. Je le voyais qu’à mes week-ends de libres. J’en ai eu la garde quand il a ses seize ans.
Quand J’ai connu Mathilde, elle avait vingt-deux ans. Toute timide, elle ne voulait pas que je la touche, il m’a fallu deux mois pour qu’elle veuille bien faire l’amour avec moi. Ce n’est que bien plus tard que j’ai su pourquoi elle était si réticence à donner son corps pour faire l’amour.
Par la suite, elle s’est débridée, à la plage elle porte des bikinis en triangle avec des lacets à petits nœuds sur les côtés du slip minimaliste.
Son minois prude et sa chevelure bouclée m’excitent au plus haut point ainsi que les autres mâles.
Un jour, en rentrant du travail, je trouve du sperme dans notre lit. Je me dis que la veille au soir, quand nous avons fait l’amour avec ma chérie, son vagin a dû déborder. Quelques jours plus tard, j’en trouve sur la rallonge de la table de la cuisine ? Bizarre.
Un mois plus tard, je rentre de déplacement un jour plus tôt, en arrivant, je vois une fenêtre grande ouverte sur le derrière de la maison. En m’approchant, j’entends des gémissements, je regarde discrètement à l’intérieur ? Mon fils est debout, avec les chevilles de Mathilde sur ses épaules. Elle est couchée sur la table de la salle à manger, il la baise depuis une heure, alternant les périodes viriles et les périodes plus tendres. Il lui prend la chatte, la bouche et le cul. Je suis impressionné par sa résistance à la jouissance, car il la prend copieusement. Elle couine comme une chienne, surtout quand il lui prend le cul sans ménagement.
Je suis fou de jalousie en voyant ma femme se faire enculer par la grosse bite de mon fils Sébastien. L’entendre lui dire :
— Tiens, prends ça, morue ! C’est pas la nouille de mon vieux, hein ? Je vais te remplir le ventre de mon jus, salope !
Je le vois serrer les dents tandis qu’il se vide en elle en grognant comme un porc. Elle l’accompagne pour une dernière jouissance.
C’est un véritable calvaire pour moi, mais en même temps, ça me fait bander, mon regard ne peut se détacher de cette queue qui la pénètre. Ensuite, il sort sa queue du cul de ma femme, il fait le tour de la table, il approche sa bite des lèvres de Mathilde. Elle lui suce la queue, lui gobe les couilles, une vraie salope.
J’ai fait vite le tour de la maison, je rentre dans la salle à manger. Mathilde suce encore la bite de Sébastien. C’est là que j’interviens en la traitant de salope. Il se tourne, la queue encore grosse, il me dit : — oh ! Toi, le cocu, tu vas nous faire chier encore longtemps ? La bagarre est inévitable. J’essaye de lui balancer un coup de pied dans les couilles. Il esquive, il me cueille au menton et à l’arcade. Résultat : KO et l’arcade ouverte avec un œil au beurre noir.
Quand je me remets de mes émotions, je lui flanque une bonne paire de claques et je lui dis tu dégages et il est parti dans sa chambre.
Mathilde descend de la table, elle se rajuste, appelle Sébastien pour qu’il vienne dans le salon.
On s’installe tous les trois au salon, Mathilde commence à parler.
Elle nous raconte comment elle a été dépucelée.
Lors du mariage d’une de ses cousines, le cousin, frère de la mariée, flirte avec elle. Ils dansent ensemble, il n’hésite pas à l’a peloté, elle se prend au jeu sans arrière-pensée.
Il l’a fait un peu boire, il l’attire dehors pour soi-disant prendre le frais. Une fois dehors dans un coin sombre, il lui roule une pelle bien baveuse. Elle se laisse aller au baisé. Elle est en robe longue, il l’attire dans un bois à quelques mètres de la soirée de mariage. Là, il lui prend sa virginité à même le sol, dans les aiguilles de pin, sans aucune précaution. Il la pilonne comme un animal, sans entendre les protestations de douleur qu’elle lui murmure à l’oreille. Après l’avoir dépucelée, ravagé, il éjacule abondamment dans son ventre en l’insultant :
— Tiens, prends ça, salope, t’es bonne qu’à baiser salope !
Puis il l’a laissé par terre, à moitié dévêtu, la robe déchirée, la culotte ensanglantée et déchirée. Lui regagne la noce comme si de rien n’était. Après s’être remise en état comme elle le peut, elle passe par les toilettes avant de rejoindre sans culotte elle aussi la noce et terminer la soirée en faisant semblant d’être joyeuse.
Là, c’est elle qui raconte encore les épisodes inconnus de sa vie. Quelques semaines après notre mariage, pour renforcer le lien familial, elle va souvent rendre visite à mon oncle boulanger.
L’après-midi, il la reçoit dans le fournil de sa boulangerie. Ma tante est absente le mardi après-midi de quinze à dix-huit heures. Au début, en chahutant, il se contente de lui peloter les seins, ça l’émoustille un peu. Il faut dire qu’elle a une belle paire de seins lourds mais toujours bien droits, aux aréoles brunes très larges. Après deux ou trois mardis, à la suite d’un pelotage un peu appuyé que les autres fois, il veut la prendre par surprise sur la machine à façonner.
Elle finit par accepter ce qu’auparavant elle aurait refusé. Se faire sauter par un membre de sa famille. Ce n’est pas la première fois que, ce quelle aurait trouvé impossible deux mois avant, devient réalité. Il lui faut le temps qu’elle s’habitue à l’idée, que ça prenne corps ; en même temps, ce salaud d’oncle, qui sait y faire, finit par lui donner envie de réaliser un pas de plus dans sa libération de belle femelle avide de sexe, d’adultère.
Il lui appuie la tête sur le tapis plein de farine, il la pénètre sauvagement en levrette. Elle en a un orgasme incroyable. Comme elle ne sait pas dire non, à une personne autoritaire, alors ? Pendant plusieurs semaines, la scène se répète chaque mardi. Le deuxième mois, un mardi, elle est appuyée comme d’habitude, les coudes sur la machine, la robe relevée sur ses épaules. Mais cette fois-là, il lui met une noix de beurre dans l’anus ?
Avant qu’elle réalise ce qu’il veut faire, il la sodomise d’un coup sec, elle n’a que le temps d’ouvrir la bouche de surprise. Il se vide dans ses entrailles, comme il le fait d’habitude dans son vagin et bien sûr comme à chaque fois sans capotes.
Durant tout ce temps, elle ne se contente pas que d’aller chaque mardi se faire baiser par mon oncle. Elle nous raconte également comment elle occupe les autres jours de la semaine. Avant de me connaître, après avoir donc été dépucelé de la manière qu’elle nous a narrée. Mathilde a connu un garçon qu’elle ne savait pas être un de mes collègues de travail.
Après notre mariage donc, elle le revoit pendant des mois.
Je le connais depuis bien longtemps, dans l’entreprise, nous savons tous que pour lui une femme n’est qu’un de trou à bite, comme il le dit lui-même. Autant dire que mon épouse lui sert que de dégorgeoir, encore plus lorsqu’il sait que je l’ai épousée. Suivant les dires de Mathilde elle-même : — je ne suis qu’un morceau de viande pour lui.
Il la prend partout, dans l’ascenseur, sous l’escalier, dans la cave de notre immeuble et bien entendu dans notre lit. Elle a de formidables orgasmes à chaque fois qu’il la sodomise, ce qu’il fait souvent, car elle veut que l’enfant soit de moi. Il l’a même prise en sandwich avec notre comptable plusieurs fois dans l’appartement.
Voilà pour nos trois premières années de mariage. La jeune femme timide que j’ai épousée est devenue un vagin et un anus sur pattes, prête à se laisser dominer et avilir, pour se faire baiser par n’importe quel mec avec une bite puissante et endurante, tout ce que je ne suis pas.
Mon fils Sébastien commence à parler. — Ta petite Mathilde est adorable et je compte bien continuer à la baiser encore longtemps. J’essaye de l’interrompre, mais il me balance un « ta gueule papa ! qui n’admet pas la réplique. Je reste là, à l’écouter.
— Tu sais ta femme, ce qu’elle aime c’est ma grosse bite, faut pas te faire d’illusions. Elle est accro à ma queue et aussi longtemps que je resterais avec vous, je lui prendrais sa chatte, sa bouche et son petit cul. Quoi que tu lui dises, quoi que tu lui fasses, tu seras mon papa cocu.
Sébastien ne s’est pas gêné pour me dire que ma femme a un tempérament de salope et qu’elle ne dira jamais non à une belle queue et qu’il faut que je l’accepte ou bien que je la quitte. Ces propos sont choquants et blessants.
Je lui dis alors : — Si c’est tout ce que tu as à dire, tu peux te casser dans ta chambre.
— Ah non ! Ce n’est pas tout. Elle m’a parlé de ta petite queue et de tes éjaculations précoces. J’ai peut-être une solution pour toi…
Connement, je lui demande.
— C’est quoi ta solution ?
Il se lève, s’approche de moi, il me dit : — Ces petites discussions m’ont excité, j’ai vraiment envie que tu me suces !
— OH ! Mais ça ne va pas ta tête Sébastien.
Il me répond fermement.
— Si, si, ça va très bien papa ! Il se lève, défait sa ceinture, puis ouvre sa braguette et sort sa bite bien plus grosse que la mienne, elle est en semi-érection.
Il m’ordonne de le pomper. Je regarde cette queue déjà bien grosse, j’imagine ma petite Mathilde suçant ce mandrin. Il me prend les cheveux et me dit : — allez, cocu, suce-moi et comme il faut, tu seras récompensé !
Je me dégonfle et je le suce comme une nana, je lui lèche les couilles, je lui aspire la queue, la lèche sur toute sa longueur puis l’enfourne.
Je deviens sa chose. Mon fils me domine, il me fait le sucer en me traitant de petite chienne. Ça dure une éternité avant qu’il me balance dans la bouche, trois énormes giclées de sperme qu’il me force à avaler. Ensuite, il me fait nettoyer sa queue avec ma langue avant de me dire :
— Bon allez, je te laisse discuter avec ta petite femme à tout à l’heure ! Il se dirige vers la porte et il me dit : — tu suces presque aussi bien que Mathilde, encore quelques pipes et tu vas être un bon suceur !
Il est sorti, nous laissant seuls avec nos questions et le goût de son sperme dans la bouche.


