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La soumission de Mathilde

Mathilde n’aurait pas du accepter de se soumettre pour payer une dette. son père non plus.

La fessée commence ? Doucement une fesse, puis l’autre, en haut, en bas, sur les côtés. Clac ! Clac ! Clac ! Régulièrement, sans hâte, après plusieurs dizaines de claques, je commence à me tortiller.

— Petite nature on dirait ! Emeline, assieds-toi sur lui, immobilise-le.

Coincé, je ne peux plus rien faire. La vraie fessée commence. Au bout de plusieurs centaines de claques, je sens mes fesses chauffées de plus en plus.

— À ton tour Emeline, je fais une pause.

Cela reprend différemment, elle est plus vicieuse, plus garce, elle écarte mes fesses pour frapper autour de mon anus, variant l’angle, la fréquence et la force des claques. Je commence à trouver cela excitant. Je suis un peu exhibé et sachant que mon postérieur s’expose sans pudeur devant deux autres adultes, ça me fait bander.

— Regarde-moi cette petite pute Sébastien ! Il se tortille comme une vraie chienne en chaleur.

— Ne t’inquiète pas chérie, on va lui en donner.

Ils savent fort bien fesser, car cette punition est vraiment dosée, graduelle, tout y passe, Martinet, cravache, ex-citera, ce qui me permet d’être toujours entre douleur et plaisir.

Je gémis, est-ce de joie ou de honte, de crainte ou de douleur ?

— Il m’excite, j’ai envie de m’en servir un peu. Tu permets ?

— Vas-y, mon Sébastien, j’adore !

Je sens sa poigne ferme me tirer en arrière, je me retrouve debout, la queue tendue à l’extrême, le pantalon et le slip tire-bouchonnés autour des chevilles. Mon bandeau est toujours soigneusement ajusté, je ne vois rien. Je titube un instant et reprends mon équilibre.

— À genoux !

Je m’exécute aussitôt, je sens alors une tige raide et chaude forcer l’ouverture de ma bouche. Elle sent le mec lavé, cependant avec tout de même un arrière-goût de mâle en rut. Belle pine, que j’ai d’ailleurs sucée une bonne vingtaine de fois.

Sans rien dire, comme un bon soumis, je sors ma langue et commence à sucer son gros sucre d’orge, ma langue monte en frétillant le long de la colonne de chair dont je sens les grosses veines gonflées rouler sous mes papilles. Je lèche, de bas en haut, de haut en bas. Je sens la queue durcir encore et grossir.

Tout d’un coup, une vive douleur me cisaille les fesses.

— Enfourne-la complètement, sinon, gare ? Dit Emeline.

— Il suce bien chéri ?

— Superbe, une vraie salope ou plutôt une vraie petite pute, je crois bien que je vais lui casser le fion tout à l’heure. Tu as ce qu’il faut ma biche ?

— Ne t’inquiète pas, j’ai absolument tout, et même le superflu. Mais nous découvrirons cela ensemble ? répondit-elle en riant doucement.

J’aspire alors le gros mandrin de mon fils que j’aime, je commence à sucer en creusant bien les joues. Ma langue joue un ballet sur toute la hauteur de la colonne de chair bien raide, je titille parfois le méat déjà entrouvert. Parfois, ma langue frétille tout le long de la grosse veine de cette superbe queue, je me l’enfonce complètement, je sens le bout de mon nez qui s’enfonce dans les poils pubiens de Sébastien. Il donne un petit à coup de queue, elle passe la glotte, j’ai son pieu de chair qui me transperce entièrement la gorge. Sébastien grogne de plaisir, j’entends le sifflement admiratif d’Emeline :

— Putain, quelle suceuse ton père !

Pendant une dizaine de minutes, je joue de tout mon art, descendant très loin entre les fesses, prenant dans ma bouche de lourdes couilles bien gorgées de jus que je fais rouler doucement sous ma langue, léchant.

Je sens les mains de Sébastien m’écarter brutalement.

— Stop ! Il va me faire jouir ce pédé. Emeline, fouette le un peu, le temps que je me calme !

La fessée reprend, distribuée sans réticence ni retenue par la main d’Emeline puis le martinet. Sur mes fesses brûlantes, ça chauffe vraiment.

— Bien, allez, espèce de petit pédé, vient te faire baiser, mais demande le moi poliment sinon ?

Décidément, rien, il ne m’épargne rien.

— Sébastien mon fils, est-ce que tu peux m’enculer s’il te plaît ? Que je lui demande sans aucune pudeur. J’en ai trop envie.

— Mets-toi en position salope.

Je me remets à genoux, face au canapé, j’appuie mon buste sur celui-ci.

Mon fils m’a déjà fait sucer sa bite et aussi avaler son sperme, là c’est la première fois qu’il va me sodomiser.

— Prépare-le, ma chérie. Sinon, il va japper le paternel.

Elle prend place derrière moi, je sens sa main caresser ma raie. Je me cambre plus encore. Elle étale un produit lubrifiant, elle me tartine la raie puis glisse un doigt dans mon anus.

— Je sais que tu vas aimer comme ta femme. Il va bien te sodomiser. Je vais te mettre un deuxième doigt pour bien t’ouvrir.

Emeline commence à m’enculer avec ses deux doigts, petit à petit la douleur disparaît totalement. Elle écarte ma rondelle qui commence à s’ouvrir.

— Bon, allez, je crois qu’il est prêt, ma chérie.

Je ne réponds pas, d’un coup, Sébastien m’écarte les jambes, il pèse de tout son poids sur moi, son torse épouse, mon dos, ses jambes puissantes écartent les siennes au max.

Je me sens femelle, soumise, offerte. Son membre viril frotte sur mon orifice, me procurant un nouveau plaisir, il sait que je vais encore céder. Lui offrir ma féminité anale, malgré l’effroi qui m’envahit d’être pris son gros calibre.

Sébastien sent que je cède, que je n’oppose pas de résistance, que mon corps lui est offert.

Son gland se frotte sur mon anus, je ne sais pas pourquoi, cependant je le sens s’ouvrir, prêt à accueillir cette énorme barre de chair dans mon boyau.

— Tu es comme les femmes qu’on ne veut pas engrosser, tu vas être heureux, tu vas être baisé comme la femelle que tu es !

Il m’écarte les jambes le plus possible, son sexe s’enfonce dans mon anus. Malgré mes cris, il continue, son gland franchit la barrière de mon anneau. J’ai l’impression d’être ouvert en deux, malgré le lubrifiant d’Emeline, mon anus me brûle. C’est gros. Trop gros ?

Sébastien ressort de mes reins, Emeline remet un peu de gel, elle repositionne le sexe sur mon orifice encore béant.

— Je vais te baiser comme une femme ! Mon papa.

Dès que le gland est rentré, il s’enfonce, en entier dans mon rectum, d’un coup brutal. Je crie, je suis sûr que je vais mourir, que mon trou va éclater, j’essaye de le pousser hors de moi, mes mains ne rencontrent que ses abdominaux.

— Calme-toi papa ? Tu es un enculé maintenant ! C’est juste un peu dur au début, mais tu vas aimer ça ? Je t’assure !

Mon fils reste un moment enfoncé dans mon rectum en entier, petit à petit, il commence des va et viens. Pas trop important d’abord, pourtant de plus en plus fort, insérant des mouvements de plus en plus amples.

D’un coup, Sébastien râle. Il jouit en poussant un grognement de bonheur. Emeline s’envoie en l’air elle aussi, car j’entends gémir alors que moi ? Je suis attaché, coincé, frustré et incapable de me faire jouir seul. Je le sens s’enfoncer au plus profond de mon ventre, soudain des jets chauds remplissent mes entrailles. Mon fils vide son plaisir dans son père.

Il se retire de mon dos, sort son sexe encore à moitié dur.

— Tu as aimé Salope ? On n’en a pas fini avec toi. Ça ne fait que commencer ? Il me fait cambrer, m’écarte les cuisses, et les fesses, ce qui permet à Emeline de voir de près, mon anus rougi et encore bien ouvert.

— Ça t’a plu hein salope de te faire défoncer par une grosse bite, hein ? Réponds !

— MMM ? Oui ! Ça m’a plu.

— Tu es notre pute maintenant, notre sac à foutre, tu appartiens à Sébastien ! Dit Emeline.

Je sens de longs doigts aux ongles acérés me caresser les couilles ? Un ou deux mouvements de branlette. Puis, plus rien.

— Salope, dis-je furieux.

En réponse, avec un petit rire inquiétant. Emeline me dit :

— Nous verrons bien qui sera la salope tout à l’heure. Ne crois pas t’en tirer à si bon compte.

Là, je commence à m’inquiéter un peu, mais de toute façon, c’est trop tard, il faut aller au bout. Ils m’autorisent à m’asseoir, toujours menotté et les yeux bandés. Je serre les fesses, je contracte par à coup mon anus. Quelques minutes passent.

— Debout et ne bouge pas.

Je sens les menottes qu’on enlève, on me détache les bras du collier.

— Mets tes mains devant !

Clic-clac ? Les menottes sont désormais fixées sur mes poignets devant moi. Je suis toujours aveuglé par le bandeau. Je sens Emeline qui m’enlève mon slip et mon pantalon. Je sens des lanières qui se bouclent sur mes chevilles, ensuite l’écarteur de jambes ? Je ne pensais pas qu’ils allaient utiliser ce truc comme ça.

Je me retrouve debout, les jambes largement écartées, les mains liées devant moi, ses mains d’ailleurs qui viennent d’être attachées à une ceinture que l’on vient de me boucler autour de la taille. Je suis complètement immobilisé, ne pouvant même plus bouger les mains.

— Regarde comme il est mignon ton père, un vrai petit poulet de grain.

J’entends un petit rire ? Ce n’est ni celui de Sébastien ni celui d’Emeline.

Il y a une troisième personne présente, troisième personne si discrète que je ne me suis rendu compte de rien. Au moment où j’ouvre la bouche pour protester, je me sens solidement empoigné, la tête immobilisée, et un chiffon odorant s’enfonce dans ma bouche.

— Oh ! Oui regarde petit veinard, c’est bien la culotte d’Emeline, avec ton slip en prime, tu en as de la chance hein ? Je te conseille de respirer par le nez.

Clame Sébastien en fixant fermement la culotte par un autre foulard qui écarte ma bouche. — Pourquoi j’ai fait cela ? Mais tout simplement parce que je sens que tu vas protester et je ne veux pas que tu m’interrompes quand je te donnerai la suite de l’histoire ! Écoute bien. Si tu as compris, hoche la tête.

Je voudrais bien jouer au plus malin, mais là ? Je préfère me méfier. J’accepte donc.

— Chérie, tu vas à la voiture et tu remontes avec Lucas ! Ordonne Sébastien.

— J’y vais à de suite, ne t’en vas pas Arnaud ?

Oh, ce qu’elle est drôle la conne ! Je suis mort de rire. Qui c’est ce Lucas ? Putain, je ne suis tout de même pas un garage à bite ? Au bout de cinq à six minutes, sonnette. Emeline revient, cependant elle n’est pas seule ?

Il y a quelqu’un d’autre avec elle. Vous savez, quand les yeux sont bandés, quand on est immobilisé, sans pouvoir parler ni même grogner, tous les autres sens se décuplent, là, j’ai beau chercher, je ne comprends pas ? Le bruit d’une respiration forte. Bon Dieu ils font quoi ?

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